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La Tactique de jeu : « Une affaire complexe »
Mener le jeu est une affaire délicate qui exige de l’expérience et de la sérénité.
La tactique de jeu ne relève pas de l’instinct, elle s’apprend pas à pas.
Conduire le jeu, ce n’est pas agir selon ses envies ni selon ses compétences techniques.
Ce n’est pas juste réussir ce que l’on tente et pourtant tant de joueurs en restent persuadés.
Cette vision simpliste de la tactique amène souvent les joueurs à commettre des erreurs grossières. Trop de pratiquants se fourvoient lourdement à ce propos.
S’il en était ainsi, on le saurait depuis longtemps et ce serait beaucoup trop simple.
La tactique de jeu est une affaire autrement plus subtile.
On en mesure la difficulté et les contraintes quand on se trouve opposé à des équipes de niveau supérieur ou égal au sien. C’est à cet instant que le coup juste, joué au bon moment peut faire la différence. On peut difficilement s’en rendre compte lorsque l’on joue contre des équipes de niveau inférieur.
De nombreux facteurs influencent les décisions tactiques.
Aujourd’hui, nous allons nous intéresser aux conséquences des interactions entre partenaires.
Envisageons le cas d'un partenaire particulièrement anxieux.
Un partenaire anxieux transmet à ses coéquipiers sans en avoir conscience, son stress intérieur.
Je devrais dire « à l’insu de son plein gré », pour reprendre une expression désormais consacrée.
Je parle ici du stress négatif, celui qui nuit à la performance, à l’opposé du stress positif qui lui se révèle générateur de performance. Cette communication du stress à ses partenaires peut avoir une influence négative sur la qualité du jeu de l'équipe.
En tout cas, il est un facteur de gêne à la prise de décisions rapides et à leurs bonnes réalisations.
C’est d’ailleurs l’une des raisons pour laquelle il est si délicat de jouer avec un coéquipier que l’on connait peu.
En effet, outre le fait que l'on ignore ces aptitudes, on ne sait rien de son comportement sur le jeu.
Il y aurait bien d’autres choses à dire sur ce sujet, mais à chaque jour suffit sa peine.
Retrouvez moi dans : « PETANQUE, quand tu nous tiens ! »
AVEC MES AMITIES SPORTIVES,
FREDERIC.
Mener le jeu est une affaire délicate qui exige de l’expérience et de la sérénité.
La tactique de jeu ne relève pas de l’instinct, elle s’apprend pas à pas.
Conduire le jeu, ce n’est pas agir selon ses envies ni selon ses compétences techniques.
Ce n’est pas juste réussir ce que l’on tente et pourtant tant de joueurs en restent persuadés.
Cette vision simpliste de la tactique amène souvent les joueurs à commettre des erreurs grossières. Trop de pratiquants se fourvoient lourdement à ce propos.
S’il en était ainsi, on le saurait depuis longtemps et ce serait beaucoup trop simple.
La tactique de jeu est une affaire autrement plus subtile.
On en mesure la difficulté et les contraintes quand on se trouve opposé à des équipes de niveau supérieur ou égal au sien. C’est à cet instant que le coup juste, joué au bon moment peut faire la différence. On peut difficilement s’en rendre compte lorsque l’on joue contre des équipes de niveau inférieur.
De nombreux facteurs influencent les décisions tactiques.
Aujourd’hui, nous allons nous intéresser aux conséquences des interactions entre partenaires.
Envisageons le cas d'un partenaire particulièrement anxieux.
Un partenaire anxieux transmet à ses coéquipiers sans en avoir conscience, son stress intérieur.
Je devrais dire « à l’insu de son plein gré », pour reprendre une expression désormais consacrée.
Je parle ici du stress négatif, celui qui nuit à la performance, à l’opposé du stress positif qui lui se révèle générateur de performance. Cette communication du stress à ses partenaires peut avoir une influence négative sur la qualité du jeu de l'équipe.
En tout cas, il est un facteur de gêne à la prise de décisions rapides et à leurs bonnes réalisations.
C’est d’ailleurs l’une des raisons pour laquelle il est si délicat de jouer avec un coéquipier que l’on connait peu.
En effet, outre le fait que l'on ignore ces aptitudes, on ne sait rien de son comportement sur le jeu.
Il y aurait bien d’autres choses à dire sur ce sujet, mais à chaque jour suffit sa peine.
Retrouvez moi dans : « PETANQUE, quand tu nous tiens ! »
AVEC MES AMITIES SPORTIVES,
FREDERIC.
« DILEMME TACTIQUE - N°1 »
Par l’auteur de « Pétanque, quand tu nous tiens ! »
Vous connaissez tous la célèbre maxime : « Tu tires ou tu pointes »
Apparemment le choix est simple puisque deux solutions s’offrent à vous.
Sans doute, mais les joueurs aguerris savent qu’il n’en est rien et que beaucoup de parties sont perdues pour avoir commis de grossières erreurs.
Dans une brève comme celle-ci, je ne peux vous décrire toutes les situations qui risquent de se présenter. C’est d’ailleurs une chose impossible vu l’infinie variété des possibles.
Pour acquérir une bonne maitrise du jeu, il faut une longue pratique.
Mais plus que le nombre des compétitions, il faut posséder de bonnes qualités d’observation et être capable d’analyser à postériori les situations vécues.
C’est à ce prix que l’on peut évoluer et progresser sur le plan de la conduite du jeu.
Or c’est souvent à ce niveau que les joueurs présentent des lacunes qu’ils payent au prix fort en compétition.
Ce faisant et pour exemple, battons ici en brèche l’idée qui consiste à dire qu’il suffit de réussir le coup que l’on tente pour avoir correctement mené le jeu.
C’est une aberration !!! Cet argument ne résiste pas deux secondes devant un exemple basique.
Vous évoluez sur un terrain difficile où les données ne sont pas franches.
Sur ce type de jeu, on ne réussit qu’une fois sur deux la reprise d’un point situé à 0,5 mètres du bouchon. L’adversaire place une boule à 0,45 mètres du but. Vous décidez de pointer et réalisez la reprise du point. L’adversaire frappe et réussit un petit palet de coté à 0,7 mètres du cochonnet.
L’adversaire possède alors deux points au tapis, dont l’un n’est gagnable qu’une fois sur deux !!
Ne vous-êtes vous pas engagé dans une situation inextricable ?
Réfléchissez-y !!
Mes amitiés sportives.
Par l’auteur de « Pétanque, quand tu nous tiens ! »
Vous connaissez tous la célèbre maxime : « Tu tires ou tu pointes »
Apparemment le choix est simple puisque deux solutions s’offrent à vous.
Sans doute, mais les joueurs aguerris savent qu’il n’en est rien et que beaucoup de parties sont perdues pour avoir commis de grossières erreurs.
Dans une brève comme celle-ci, je ne peux vous décrire toutes les situations qui risquent de se présenter. C’est d’ailleurs une chose impossible vu l’infinie variété des possibles.
Pour acquérir une bonne maitrise du jeu, il faut une longue pratique.
Mais plus que le nombre des compétitions, il faut posséder de bonnes qualités d’observation et être capable d’analyser à postériori les situations vécues.
C’est à ce prix que l’on peut évoluer et progresser sur le plan de la conduite du jeu.
Or c’est souvent à ce niveau que les joueurs présentent des lacunes qu’ils payent au prix fort en compétition.
Ce faisant et pour exemple, battons ici en brèche l’idée qui consiste à dire qu’il suffit de réussir le coup que l’on tente pour avoir correctement mené le jeu.
C’est une aberration !!! Cet argument ne résiste pas deux secondes devant un exemple basique.
Vous évoluez sur un terrain difficile où les données ne sont pas franches.
Sur ce type de jeu, on ne réussit qu’une fois sur deux la reprise d’un point situé à 0,5 mètres du bouchon. L’adversaire place une boule à 0,45 mètres du but. Vous décidez de pointer et réalisez la reprise du point. L’adversaire frappe et réussit un petit palet de coté à 0,7 mètres du cochonnet.
L’adversaire possède alors deux points au tapis, dont l’un n’est gagnable qu’une fois sur deux !!
Ne vous-êtes vous pas engagé dans une situation inextricable ?
Réfléchissez-y !!
Mes amitiés sportives.
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