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" UN ARTICLE ESSENTIEL "
« BATIR UNE EQUIPE » : (Commentez !!)
Nous nous intéressons aujourd’hui à la construction d’une équipe et à son fonctionnement.
C'est un sujet pertinent, à la veille de la saison qui démarre.
Qu’il est agréable de voir évoluer une équipe où respire l’osmose entre partenaires!!
Malheureusement à notre époque, les équipes stables sont des denrées rares.
Et pourtant tous les joueurs ont besoin d'une équipe stable pour parvenir à éclore, une équipe où règne la sérénité et le respect mutuel.
Mais la majorité des Pétanqueurs sont à la recherche de succès rapides et veulent tout et tout de suite.
Alors ceux-ci se montent au mieux, dans le seul but de gagner un beau concours ou en espérant être performant aux championnats départementaux.
Mais ils rêvent et se préparent des lendemains qui déchantent.
Ma foi, tant pis pour eux, s'ils n'ont rien compris aux conditions essentielles qui font la réussite d'une équipe.
Ces formations éphémères ne durent que le temps d'un concours si la réussite n'est pas au rendez-vous.
Vous pourrez d'ailleurs remarquer qu’à peine les championnats terminés, certains sont déjà à la recherche d’une autre formation pour la saison suivante.
Construire une équipe performante réclame du temps.
Mais peu de pratiquants sont à même d'envisager les choses dans la durée.
La majorité des joueurs n’ont pas intégré ce paramètre dans leur prévisionnel.
La Pétanque n'est-elle pas, dans son essence même, un jeu de patience?
Chaque joueur doit trouver sa place dans l’équipe, pour s’y épanouir.
Très peu de joueurs sont en capacité d’évoluer à n’importe quel poste avec la même efficacité.
J’affirmais à l’un de mes amis, l’importance de posséder un point fort pour devenir performant à ce jeu.
Même si aujourd’hui, avec l’évolution du jeu, les joueurs doivent posséder des compétences dans tous les domaines.
C’est en jouant de façon régulière avec les mêmes coéquipiers que l’on apprécie l’importance du relationnel entre partenaires.
Cet esprit de soutien et de solidarité qui fait défaut à beaucoup de pratiquants.
Je vais maintenant essayer de vous donner quelques éléments qui expliquent l’instabilité des équipes.
Que ce soit individuellement ou collectivement il faut raisonner en termes d’objectifs.
Quand on construit une équipe, il faut se fixer des objectifs réalisables et préparer le calendrier de sa saison.
Après quelques rencontres il faut se retrouver pour faire le point et toujours replacer l’équipe au centre des échanges.
Faire équipe réclame donc de nombreuses qualités humaines.
Nous avons des personnalités différentes et pour pouvoir s’intégrer à un groupe, il sera nécessaire de travailler sur soi.
Dans le jeu, il faut respecter ses partenaires et contrôler ses émotions.
Il circule entre les coéquipiers des choses qui font partie du « non-dit ».
Les réactions d’agacement des uns et des autres peuvent avoir des répercussions sur le jeu collectif.
On doit faire preuve d’humilité et d’empathie.
Les éléments que je vous rappelle ici sont censés être connus de tous.
Pour autant les mauvaises habitudes ont la vie dure, ce qui explique que les formations que l’on voit évoluer de concert sont si rares.
Et pourtant, regardez ceux qui se retrouvent régulièrement au bout des beaux concours et des championnats !!
À chaque fois, ceux sont des joueurs qui se connaissent bien pour avoir souvent évoluer ensemble !!
Voilà j’aurais encore beaucoup de choses à vous dire, mais cette publication est déjà bien suffisamment longue.
Vous trouverez dans : « PETANQUE, quand tu nous tiens ! », une étude approfondie sur le jeu en équipe dont notre ex-président a dit :
« Il apporte une belle vision de la psychologie Pétanquière et de la formation d’une équipe. Jamais une étude aussi pointue n’a été publiée sur ce sujet».
Avec mes amitiés sportives, Frédéric NACHIN
Nous nous intéressons aujourd’hui à la construction d’une équipe et à son fonctionnement.
C'est un sujet pertinent, à la veille de la saison qui démarre.
Qu’il est agréable de voir évoluer une équipe où respire l’osmose entre partenaires!!
Malheureusement à notre époque, les équipes stables sont des denrées rares.
Et pourtant tous les joueurs ont besoin d'une équipe stable pour parvenir à éclore, une équipe où règne la sérénité et le respect mutuel.
Mais la majorité des Pétanqueurs sont à la recherche de succès rapides et veulent tout et tout de suite.
Alors ceux-ci se montent au mieux, dans le seul but de gagner un beau concours ou en espérant être performant aux championnats départementaux.
Mais ils rêvent et se préparent des lendemains qui déchantent.
Ma foi, tant pis pour eux, s'ils n'ont rien compris aux conditions essentielles qui font la réussite d'une équipe.
Ces formations éphémères ne durent que le temps d'un concours si la réussite n'est pas au rendez-vous.
Vous pourrez d'ailleurs remarquer qu’à peine les championnats terminés, certains sont déjà à la recherche d’une autre formation pour la saison suivante.
Construire une équipe performante réclame du temps.
Mais peu de pratiquants sont à même d'envisager les choses dans la durée.
La majorité des joueurs n’ont pas intégré ce paramètre dans leur prévisionnel.
La Pétanque n'est-elle pas, dans son essence même, un jeu de patience?
Chaque joueur doit trouver sa place dans l’équipe, pour s’y épanouir.
Très peu de joueurs sont en capacité d’évoluer à n’importe quel poste avec la même efficacité.
J’affirmais à l’un de mes amis, l’importance de posséder un point fort pour devenir performant à ce jeu.
Même si aujourd’hui, avec l’évolution du jeu, les joueurs doivent posséder des compétences dans tous les domaines.
C’est en jouant de façon régulière avec les mêmes coéquipiers que l’on apprécie l’importance du relationnel entre partenaires.
Cet esprit de soutien et de solidarité qui fait défaut à beaucoup de pratiquants.
Je vais maintenant essayer de vous donner quelques éléments qui expliquent l’instabilité des équipes.
- Le joueur de boules a trop souvent un ego sur- développé et a peu conscience de ses capacités réelles.
- Le joueur de boules a une vision à cout terme. Il est plus soucieux de s’équiper au mieux pour le samedi suivant que d’envisager une saison constructive.
- Le joueur de boules oublie qu’il faut savoir perdre, avant de viser la gagne avec de nouveaux partenaires. La gestion des défaites étant l’épreuve de vérité pour la cohésion de la formation.
- Mais le plus inquiétant dans notre discipline est qu'une majorité de pratiquants s'acharnent des qu'ils ont vent de la formation d'une équipe pour détruire la dynamique qui se met en place. C'est le moment pour eux de faire circuler des rumeurs infondées, de rapporter des propos mensongers, de débaucher l'un (ou l'une) des protagonistes pour jouer telle ou telle compétition. Il faut être très solide pour résister à tout cela. Il faut que les uns et les autres aient bien conscience de ces choses et apprennent à se protéger mutuellement. Je n'ai jamais vu de sport avec une mentalité aussi tordue. L'envie et la jalousie y font des ravages.
Que ce soit individuellement ou collectivement il faut raisonner en termes d’objectifs.
Quand on construit une équipe, il faut se fixer des objectifs réalisables et préparer le calendrier de sa saison.
Après quelques rencontres il faut se retrouver pour faire le point et toujours replacer l’équipe au centre des échanges.
Faire équipe réclame donc de nombreuses qualités humaines.
Nous avons des personnalités différentes et pour pouvoir s’intégrer à un groupe, il sera nécessaire de travailler sur soi.
Dans le jeu, il faut respecter ses partenaires et contrôler ses émotions.
Il circule entre les coéquipiers des choses qui font partie du « non-dit ».
Les réactions d’agacement des uns et des autres peuvent avoir des répercussions sur le jeu collectif.
On doit faire preuve d’humilité et d’empathie.
Les éléments que je vous rappelle ici sont censés être connus de tous.
Pour autant les mauvaises habitudes ont la vie dure, ce qui explique que les formations que l’on voit évoluer de concert sont si rares.
Et pourtant, regardez ceux qui se retrouvent régulièrement au bout des beaux concours et des championnats !!
À chaque fois, ceux sont des joueurs qui se connaissent bien pour avoir souvent évoluer ensemble !!
Voilà j’aurais encore beaucoup de choses à vous dire, mais cette publication est déjà bien suffisamment longue.
Vous trouverez dans : « PETANQUE, quand tu nous tiens ! », une étude approfondie sur le jeu en équipe dont notre ex-président a dit :
« Il apporte une belle vision de la psychologie Pétanquière et de la formation d’une équipe. Jamais une étude aussi pointue n’a été publiée sur ce sujet».
Avec mes amitiés sportives, Frédéric NACHIN
" ARTICLE FONDAMENTAL"
« RESTER AU TOP AU TIR »
Cet article est rédigé à l'attention des joueurs chevronnés.
Il ne parlera pas des entrainements de base sur lequel nous reviendrons dans une autre publication.
Il traite plus particulièrement de l'optimisation de la fréquence de frappes.
Des que l'on a acquis une bonne régularité au niveau de son gestuel, il convient de mettre en place une stratégie pour optimiser sa cadence et sa précision.
Même les individus doués d'une adresse hors norme, qualifiés de tireurs d'instinct, ont lancé des tonnes de boules.
Vous n'avez qu'à observer le rituel immuable de leur préparation et de leur lancer pour vous en persuader.
Si un nom revient sans cesse dans la bouche des connaisseurs quand on parle de tir, c’est bien celui de Michel Schatz dit « Passo ».
Il a eu une longévité exceptionnelle au tir, quand beaucoup d'autres de sa génération avaient perdu de leur régularité et de leur précision.
Évolution du gestuel au cours de la vie.
On ne peut comparer aujourd'hui la mécanique robotisée du tir de Philippe Suchaud avec le lancer de ses débuts ou il pliait le bras, puis le tendait à l'arrière pour le replier de nouveau à la descente et enfin le retendre au moment du lâcher de la boule.
De même on ne peut comparer le tir de Philippe Quintais qui armait à ses débuts au niveau de l'épaule, alors que depuis très longtemps maintenant, il possède ce geste décomposé redoutable d'efficacité.
Mais pour la majorité d'entre nous, ,le geste évolue avec le temps et l'efficacité se réduit.
Par contre, vous avez pu voir " Passo " conserver le même coup de bras durant toute sa carrière exceptionnelle.
Il avait un geste court et vif et une sortie de main exceptionnelle.
C'est ce qui faisait sa force.
Les joueurs qui possèdent ce type d’envoi possèdent un avantage certain et leur efficacité sur de longues années, quand ceux qui possèdent un grand balancier ont tendance à baisser progressivement.
C'est le cas de Didier Choupay, champion d'exception qui possédait un balancier extraordinaire qui lui a permis d'être le meilleur tireur au monde pendant 10 ans.
Même si de nos jours, il frappe un peu moins de boules, il restera dans la mémoire de tous les boulistes, comme un tireur de boules hors norme.
Tout ceci pour exprimer le fait que rien n'est perdu et qu'en alliant entrainement et réflexion, vous pourrez toujours trouver le moyen de pallier à la baisse de vos capacités physiques.
Voilà de quoi rester positif, même si l'on rencontre parfois de longs moments de doute et qu'il faut réussir à les accepter pour les traverser et rebondir sans laisser place au découragement.
« Quelques recommandations »
1°) La gestion d'un tir régulier demande une bonne préparation mentale.
Il faut cultiver le laisser aller, le laisser faire.
En effet votre geste est automatisé, donc une fois au rond, il n'est plus question de réfléchir à quoique ce soit. Si le moindre doute survient, sortez du rond, prenez deux courtes inspirations par le nez et soufflez lentement.
Répétez la séquence une fois si nécessaire.
Aucune idée doit venir vous parasiter au moment de l'envoi de la boule.
Sinon, c'est l'échec!!
C'est pourquoi dans cette discipline ou le relâchement et la concentration sont nécessaires doivent être maximales, ne vous étonnez pas de mal jouer si vous rencontrez par ailleurs des difficultés objectives dans votre vie de tous les jours.
Les ruminations de l'esprit affectent fortement le rendement dans les sports d'adresse et se traduisent par des symptômes au niveau du corps:
- Des douleurs cervicales, pouvant engendrer des maux de tête.
- Des tensions musculaires au niveau dorsal, entre les deux omoplates.
Celles-ci peuvent gêner la respiration et rendre moins efficace l’oxygénation des muscles renforçant par la même ces contractures.
Ces tensions freinent le bras et limitent la vitesse du bras!!
Or le bon timing est la condition impérative d'un tir réussi !!
Le diaphragme joue ici un rôle fondamental et son excès de tension conduit rapidement à un état d'épuisement.
C'est ici que les diverses méthodes de relaxation trouvent leur place dans la préparation du sportif.
Pour les limiter, il faut pratiquer des exercices respiratoires pour permettre au corps de se détendre.
Il faut connaitre et pratiquer des exercices d'étirements pour faciliter la récupération et prévenir les coups de fatigue.
Il est nécessaire de pratiquer tout au long de la compétition des exercices d'étirement des muscles des cuisses et des mollets.
En effet si vous perdez la souplesse des membres inférieurs, votre ancrage au sol ne sera plus assuré et votre jeu va se dégrader.
2°) La pratique de la pétanque ne permet pas de se défouler comme dans d'autres activités sportives.
C'est là l'une de ces principales difficultés de la discipline.
C'est une activité relativement statique.
Le rythme cardiaque s'accélère peu, le corps ne monte pas en température et la sudation ne permet pas aux muscles de se relâcher et d'éliminer les toxines accumulées.
Il est donc indispensable de boire beaucoup d'eau et j'insiste bien de l'eau.
Il faut s'alimenter régulièrement par petites quantités pour éviter le coup de pompe.
Voilà encore un article écrit à l’aune du jeu qui nous passionne. J'espère que vous l'apprécierez beaucoup.
Pensez à acquérir le livre: « PÉTANQUE, quand tu nous tiens ! », que vous trouverez sur : http://www.blogpetanque.com.passiondujeu,
Amicalement, Frédéric NACHIN.
Cet article est rédigé à l'attention des joueurs chevronnés.
Il ne parlera pas des entrainements de base sur lequel nous reviendrons dans une autre publication.
Il traite plus particulièrement de l'optimisation de la fréquence de frappes.
Des que l'on a acquis une bonne régularité au niveau de son gestuel, il convient de mettre en place une stratégie pour optimiser sa cadence et sa précision.
Même les individus doués d'une adresse hors norme, qualifiés de tireurs d'instinct, ont lancé des tonnes de boules.
Vous n'avez qu'à observer le rituel immuable de leur préparation et de leur lancer pour vous en persuader.
Si un nom revient sans cesse dans la bouche des connaisseurs quand on parle de tir, c’est bien celui de Michel Schatz dit « Passo ».
Il a eu une longévité exceptionnelle au tir, quand beaucoup d'autres de sa génération avaient perdu de leur régularité et de leur précision.
Évolution du gestuel au cours de la vie.
On ne peut comparer aujourd'hui la mécanique robotisée du tir de Philippe Suchaud avec le lancer de ses débuts ou il pliait le bras, puis le tendait à l'arrière pour le replier de nouveau à la descente et enfin le retendre au moment du lâcher de la boule.
De même on ne peut comparer le tir de Philippe Quintais qui armait à ses débuts au niveau de l'épaule, alors que depuis très longtemps maintenant, il possède ce geste décomposé redoutable d'efficacité.
Mais pour la majorité d'entre nous, ,le geste évolue avec le temps et l'efficacité se réduit.
Par contre, vous avez pu voir " Passo " conserver le même coup de bras durant toute sa carrière exceptionnelle.
Il avait un geste court et vif et une sortie de main exceptionnelle.
C'est ce qui faisait sa force.
Les joueurs qui possèdent ce type d’envoi possèdent un avantage certain et leur efficacité sur de longues années, quand ceux qui possèdent un grand balancier ont tendance à baisser progressivement.
C'est le cas de Didier Choupay, champion d'exception qui possédait un balancier extraordinaire qui lui a permis d'être le meilleur tireur au monde pendant 10 ans.
Même si de nos jours, il frappe un peu moins de boules, il restera dans la mémoire de tous les boulistes, comme un tireur de boules hors norme.
Tout ceci pour exprimer le fait que rien n'est perdu et qu'en alliant entrainement et réflexion, vous pourrez toujours trouver le moyen de pallier à la baisse de vos capacités physiques.
Voilà de quoi rester positif, même si l'on rencontre parfois de longs moments de doute et qu'il faut réussir à les accepter pour les traverser et rebondir sans laisser place au découragement.
« Quelques recommandations »
1°) La gestion d'un tir régulier demande une bonne préparation mentale.
Il faut cultiver le laisser aller, le laisser faire.
En effet votre geste est automatisé, donc une fois au rond, il n'est plus question de réfléchir à quoique ce soit. Si le moindre doute survient, sortez du rond, prenez deux courtes inspirations par le nez et soufflez lentement.
Répétez la séquence une fois si nécessaire.
Aucune idée doit venir vous parasiter au moment de l'envoi de la boule.
Sinon, c'est l'échec!!
C'est pourquoi dans cette discipline ou le relâchement et la concentration sont nécessaires doivent être maximales, ne vous étonnez pas de mal jouer si vous rencontrez par ailleurs des difficultés objectives dans votre vie de tous les jours.
Les ruminations de l'esprit affectent fortement le rendement dans les sports d'adresse et se traduisent par des symptômes au niveau du corps:
- Des douleurs cervicales, pouvant engendrer des maux de tête.
- Des tensions musculaires au niveau dorsal, entre les deux omoplates.
Celles-ci peuvent gêner la respiration et rendre moins efficace l’oxygénation des muscles renforçant par la même ces contractures.
Ces tensions freinent le bras et limitent la vitesse du bras!!
Or le bon timing est la condition impérative d'un tir réussi !!
Le diaphragme joue ici un rôle fondamental et son excès de tension conduit rapidement à un état d'épuisement.
C'est ici que les diverses méthodes de relaxation trouvent leur place dans la préparation du sportif.
Pour les limiter, il faut pratiquer des exercices respiratoires pour permettre au corps de se détendre.
Il faut connaitre et pratiquer des exercices d'étirements pour faciliter la récupération et prévenir les coups de fatigue.
Il est nécessaire de pratiquer tout au long de la compétition des exercices d'étirement des muscles des cuisses et des mollets.
En effet si vous perdez la souplesse des membres inférieurs, votre ancrage au sol ne sera plus assuré et votre jeu va se dégrader.
2°) La pratique de la pétanque ne permet pas de se défouler comme dans d'autres activités sportives.
C'est là l'une de ces principales difficultés de la discipline.
C'est une activité relativement statique.
Le rythme cardiaque s'accélère peu, le corps ne monte pas en température et la sudation ne permet pas aux muscles de se relâcher et d'éliminer les toxines accumulées.
Il est donc indispensable de boire beaucoup d'eau et j'insiste bien de l'eau.
Il faut s'alimenter régulièrement par petites quantités pour éviter le coup de pompe.
Voilà encore un article écrit à l’aune du jeu qui nous passionne. J'espère que vous l'apprécierez beaucoup.
Pensez à acquérir le livre: « PÉTANQUE, quand tu nous tiens ! », que vous trouverez sur : http://www.blogpetanque.com.passiondujeu,
Amicalement, Frédéric NACHIN.
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