LE MENEUR DE JEU – VOLET I
Je parlerai du meneur de jeu en triplette.
On appelle aussi ce poste: " Le meneur de bouchon ".
De mon point de vue, une triplette doit être doté d'un meneur de jeu.
Toutes les grandes triplettes ont eu en leur sein de grands meneurs d'hommes.
Pour les anciens, on rapplera les noms de J.Paon, D.Salvador.
Viendront ensuite ceux de de C.Fazzino, Marco Foyot et Zvonko Radnic.
De nos jours , j'ai bien des difficultés à vous nommer des exemples de cette carure et ceci pour deux raisons essentielles.
- Le manque de stabilité des équipes.
- L'évolution du jeu (qui fera l'objet d'une autre publication).
Pourquoi se doter d'un meneur de jeu?
Pour des joueurs expérimentés, il est inutile de palabrer sur tous les coups.
Il faut éviter les discussions inutiles pour optimiser la performance.
Le jeu doit être fluide.
Il est ainsi préférable, que l’un des joueurs, reconnu par ses pairs pour ses compétences et son charisme, prenne le jeu en responsabilité.
Cela permet aux partenaires de n'avoir à se concentrer que sur la réussite de leurs coups.
Et croyez-moi, c’est particulièrement confortable!!
L'équipe qui sait se doter d'un meneur de jeu possède un atout important et son rendement s'en trouve amélioré.
Vous avez tous pu voir des équipes hésiter à certains moments cruciaux d'une partie.
A cette occasion, il arrive souvent que les joueurs échouent dans leurs tentatives.
Comme quoi, si on est convaincu du bien-fondé d’une décision, on a bien plus de chance de la mener à bien.
Pour ma part, je n'ai jamais été aussi performant qu'en me laissant guider par une personne en qui j'avais confiance.
En effet je me prête souvent à dire : « Il vaut bien mieux un type qui se trompe une fois sur dix, que de sempiternelles discussions qui mènent à l’épuisement nerveux de la formation.
Il y a des moments particuliers de la partie où la concertation peut être utile.
Il en est ainsi sur des mènes pouvant conduire à breaker l'adversaire ou lorsqu'on s'approche du treize fatidique.
Mener le jeu est passionnant, mais c’est une tâche ardue.
Peu de pratiquants sont à même de remplir cette mission, tant il nécessite de qualités que nous étudierons dans un second volet.
Vos décisions seront parfois soumise à critiques.
C'est bien connu, ce sont toujours les types qui prennent des responsabilités qu'on accable de tous les maux.
Vous pouvez trouver mon livre sur la FNAC, chez CULTURA et sur mon blog.
Mes amitiés sportives, Frédéric !!
Je parlerai du meneur de jeu en triplette.
On appelle aussi ce poste: " Le meneur de bouchon ".
De mon point de vue, une triplette doit être doté d'un meneur de jeu.
Toutes les grandes triplettes ont eu en leur sein de grands meneurs d'hommes.
Pour les anciens, on rapplera les noms de J.Paon, D.Salvador.
Viendront ensuite ceux de de C.Fazzino, Marco Foyot et Zvonko Radnic.
De nos jours , j'ai bien des difficultés à vous nommer des exemples de cette carure et ceci pour deux raisons essentielles.
- Le manque de stabilité des équipes.
- L'évolution du jeu (qui fera l'objet d'une autre publication).
Pourquoi se doter d'un meneur de jeu?
Pour des joueurs expérimentés, il est inutile de palabrer sur tous les coups.
Il faut éviter les discussions inutiles pour optimiser la performance.
Le jeu doit être fluide.
Il est ainsi préférable, que l’un des joueurs, reconnu par ses pairs pour ses compétences et son charisme, prenne le jeu en responsabilité.
Cela permet aux partenaires de n'avoir à se concentrer que sur la réussite de leurs coups.
Et croyez-moi, c’est particulièrement confortable!!
L'équipe qui sait se doter d'un meneur de jeu possède un atout important et son rendement s'en trouve amélioré.
Vous avez tous pu voir des équipes hésiter à certains moments cruciaux d'une partie.
A cette occasion, il arrive souvent que les joueurs échouent dans leurs tentatives.
Comme quoi, si on est convaincu du bien-fondé d’une décision, on a bien plus de chance de la mener à bien.
Pour ma part, je n'ai jamais été aussi performant qu'en me laissant guider par une personne en qui j'avais confiance.
En effet je me prête souvent à dire : « Il vaut bien mieux un type qui se trompe une fois sur dix, que de sempiternelles discussions qui mènent à l’épuisement nerveux de la formation.
Il y a des moments particuliers de la partie où la concertation peut être utile.
Il en est ainsi sur des mènes pouvant conduire à breaker l'adversaire ou lorsqu'on s'approche du treize fatidique.
Mener le jeu est passionnant, mais c’est une tâche ardue.
Peu de pratiquants sont à même de remplir cette mission, tant il nécessite de qualités que nous étudierons dans un second volet.
Vos décisions seront parfois soumise à critiques.
C'est bien connu, ce sont toujours les types qui prennent des responsabilités qu'on accable de tous les maux.
Vous pouvez trouver mon livre sur la FNAC, chez CULTURA et sur mon blog.
Mes amitiés sportives, Frédéric !!