Bonjour à mes lecteurs fidèles.
Je remercierai tout d'abord les visiteurs qui ont bien voulu laisser leurs commentaires. Ces habitués ne peuvent qu'encourager la créativité du site et contribuer à son maintien.
Aujourd'hui, nous abordons un sujet essentiel pour la pratique de la Pétanque en compétition. Celui de l'organisation des compétitions.
En premier lieu, nous parlerons du respect des horaires de lancement des concours.
Les organisateurs et arbitres déplorent souvent à juste titre le comportement de certains participants et réclament de ceux-ci une bonne attitude sur les jeux et le respect des règles et des adversaires.
Mais charité bien ordonnée commençant par soi-même, il est absolument nécessaire que l'organisation des concours et l'arbitrage soit infaillible.
Dans le département dans lequel je vis, il n'y a pas moyen de démarrer un concours à 14h 30. Dans le meilleur des cas, les parties commencent à 14h 45 quand ce n'est pas 15h et le dimanche le respect des horaires est encore plus folklorique.
C'est plus qu'agaçant de se présenter à l'heure et de devoir attendre des plombes pour commencer à jouer.
Comme mes aïeux m'ont transmis un brin d'éducation, je ne manifeste pas bruyamment mon mécontentement.
Mais cette mauvaise pratique a pour conséquence que les joueurs et les joueuses se présentent de plus en plus tard à l'inscription et c'est l'histoire du serpent qui se mort la queue.
Le problème serait assez facilement résolu, si les instances dirigeantes annonçaient aux présidents de toutes les sociétés, lors de l' assemblée générale du comité, que désormais, les inscriptions seraient closes à 14h15, afin de lancer le concours à 14h30 précises.
Les retardataires ne pourraient alors que s'inscrire dans le concours B s'ils souhaitent jouer. Celui-ci débuterait aux environs de 16h30 et ne prendrait en compte que les perdants de la première partie.
Tout le monde serait gagnant en respectant ce principe:
- Les organisateurs qui doivent remettre les lieux en état seraient libérés de plus bonne heure.
- Les arbitres pourraient exiger des participants qu'ils jouent les parties finales, même en cas de partage.
En second lieu, venons-en à l'organisation des concours.
Chaque compétition se divise en 3 rencontres distinctes:
le concours A, le concours B et le concours C.
Comment cela fonctionne-t-il?
Les perdants de la première partie du concours A et les perdants de la seconde partie du concours A se retrouvent dans le concours B.
Ce concours comporte alors 75% de l'effectif total des équipes inscrites.
Il est souvent d'un bon niveau, car nombre de bonnes formations se laissent surprendre à la première et perdent.
Par contre, il est interminable.
Et ceci pour deux raisons.
- On doit jouer une partie de plus que dans le concours A pour atteindre la finale.
- De plus, si vous perdez la première partie du concours A, vous êtes susceptible de rencontrer une équipe qui aura perdu à la seconde du concours A.
Si par les aléas du tirage vous tombez de plus dans un cadrage, alors je ne vous fais pas de dessin.
C'est la catastrophe et vous passez votre temps à attendre.
Non décidément c'est une organisation calamiteuse.
Il faut y rajouter un autre souci.
Les primes versées après chaque partie gagnée dans le concours B sont dérisoires et n'invitent pas le vainqueur à offrir le verre de l'amitié aux perdants.
C'est donc à mon sens, un mauvais système qui décourage beaucoup de gens.
Certains responsables à court d'arguments m'ont souvent affirmé que:
" On ne vient pas à la Pétanque pour gagner de l'argent ".
OK, pas de souci, mais alors pourquoi mise-t-on?
Pourquoi ne pas récompenser les vainqueurs avec des carambars!
Face à des arguments aussi peu plausibles, on est tenté de répondre par l'ironie et cela ne fait pas avancer le schmilblick.
D'autres joueurs affirment avec raison que si l'on ne vient pas pour en gagner, on ne vient pas non plus pour en perdre. En conclusion cette organisation en concours A, B et C ne me semble pas bonne.
Il faut la revoir.
On ne peut récompenser les joueurs avec une mise unique pour rétribuer trois concours.
Il faut inventer un autre système plus motivant.
Je laisse ce problème à votre réflexion et j'aimerai à ce sujet récolter de nombreux avis.
Retrouvez-moi dans: " Pétanque, quand tu nous tiens! "
Mes amitiés sportives
Frédéric NACHIN
Je remercierai tout d'abord les visiteurs qui ont bien voulu laisser leurs commentaires. Ces habitués ne peuvent qu'encourager la créativité du site et contribuer à son maintien.
Aujourd'hui, nous abordons un sujet essentiel pour la pratique de la Pétanque en compétition. Celui de l'organisation des compétitions.
En premier lieu, nous parlerons du respect des horaires de lancement des concours.
Les organisateurs et arbitres déplorent souvent à juste titre le comportement de certains participants et réclament de ceux-ci une bonne attitude sur les jeux et le respect des règles et des adversaires.
Mais charité bien ordonnée commençant par soi-même, il est absolument nécessaire que l'organisation des concours et l'arbitrage soit infaillible.
Dans le département dans lequel je vis, il n'y a pas moyen de démarrer un concours à 14h 30. Dans le meilleur des cas, les parties commencent à 14h 45 quand ce n'est pas 15h et le dimanche le respect des horaires est encore plus folklorique.
C'est plus qu'agaçant de se présenter à l'heure et de devoir attendre des plombes pour commencer à jouer.
Comme mes aïeux m'ont transmis un brin d'éducation, je ne manifeste pas bruyamment mon mécontentement.
Mais cette mauvaise pratique a pour conséquence que les joueurs et les joueuses se présentent de plus en plus tard à l'inscription et c'est l'histoire du serpent qui se mort la queue.
Le problème serait assez facilement résolu, si les instances dirigeantes annonçaient aux présidents de toutes les sociétés, lors de l' assemblée générale du comité, que désormais, les inscriptions seraient closes à 14h15, afin de lancer le concours à 14h30 précises.
Les retardataires ne pourraient alors que s'inscrire dans le concours B s'ils souhaitent jouer. Celui-ci débuterait aux environs de 16h30 et ne prendrait en compte que les perdants de la première partie.
Tout le monde serait gagnant en respectant ce principe:
- Les organisateurs qui doivent remettre les lieux en état seraient libérés de plus bonne heure.
- Les arbitres pourraient exiger des participants qu'ils jouent les parties finales, même en cas de partage.
En second lieu, venons-en à l'organisation des concours.
Chaque compétition se divise en 3 rencontres distinctes:
le concours A, le concours B et le concours C.
Comment cela fonctionne-t-il?
Les perdants de la première partie du concours A et les perdants de la seconde partie du concours A se retrouvent dans le concours B.
Ce concours comporte alors 75% de l'effectif total des équipes inscrites.
Il est souvent d'un bon niveau, car nombre de bonnes formations se laissent surprendre à la première et perdent.
Par contre, il est interminable.
Et ceci pour deux raisons.
- On doit jouer une partie de plus que dans le concours A pour atteindre la finale.
- De plus, si vous perdez la première partie du concours A, vous êtes susceptible de rencontrer une équipe qui aura perdu à la seconde du concours A.
Si par les aléas du tirage vous tombez de plus dans un cadrage, alors je ne vous fais pas de dessin.
C'est la catastrophe et vous passez votre temps à attendre.
Non décidément c'est une organisation calamiteuse.
Il faut y rajouter un autre souci.
Les primes versées après chaque partie gagnée dans le concours B sont dérisoires et n'invitent pas le vainqueur à offrir le verre de l'amitié aux perdants.
C'est donc à mon sens, un mauvais système qui décourage beaucoup de gens.
Certains responsables à court d'arguments m'ont souvent affirmé que:
" On ne vient pas à la Pétanque pour gagner de l'argent ".
OK, pas de souci, mais alors pourquoi mise-t-on?
Pourquoi ne pas récompenser les vainqueurs avec des carambars!
Face à des arguments aussi peu plausibles, on est tenté de répondre par l'ironie et cela ne fait pas avancer le schmilblick.
D'autres joueurs affirment avec raison que si l'on ne vient pas pour en gagner, on ne vient pas non plus pour en perdre. En conclusion cette organisation en concours A, B et C ne me semble pas bonne.
Il faut la revoir.
On ne peut récompenser les joueurs avec une mise unique pour rétribuer trois concours.
Il faut inventer un autre système plus motivant.
Je laisse ce problème à votre réflexion et j'aimerai à ce sujet récolter de nombreux avis.
Retrouvez-moi dans: " Pétanque, quand tu nous tiens! "
Mes amitiés sportives
Frédéric NACHIN