« LE COMPLEXE DU TIR – VOLET I»
Pourquoi ce sujet !!
Lorsque l’on monte une partie de boules, revient l’éternelle question :
« Qui tire ? »
Je profite de cette publication pour rappeler qu’en équipe, on doit occuper le poste où on apporte le plus à la formation.
Etre partenaire, c’est se mettre au service d’un collectif.
Cette évidence (qui ne l’est pas pour tous) est pourtant fondamentale.
Ce n’est pas parce qu’on a des compétences au tir que l’on occupera ce poste si par ailleurs on est un pointeur régulier et complet (au sens que l’on maitrise toutes les techniques de lancer).
Je n’ai jamais compris cette querelle qui peut exister entre joueurs pour savoir lequel d’entre eux occupera le poste de tireur.
Le tir et le point sont indissociables.
Ils sont complémentaires l’un de l’autre.
Je veux aussi rappeler qu’il vaut bien mieux faire du jeu au point que d’être un tireur inconstant.
Sans doute se cache derrière tout ça un point de vue un peu machiste.
Le tireur serait l’homme, celui qui en a.
Quant au pointeur, sa représentation serait plutôt féminine.
Au point que certains joueurs ne veulent céder leur place à aucun prix, même s’ils transforment le terrain en champ de laboures.
Il y aurait donc les mauvais joueurs, incapables de toucher une boule et les bons, ceux qui frappent des boules.
Si le tir a un coté spectaculaire aux yeux des néophytes et des spectateurs, c’est sans doute parce que les gens ne se rendent pas compte de la difficulté à maitriser une boule.
Être tireur, ce n’est pas faire le barbeau devant les copains le soir après le boulot, mais c’est frapper un grand nombre de boules dans la rudesse de la compétition.
Et croyez-moi, c’est bien une autre affaire !
Alors messieurs les tireurs d’opérette, les tirailleurs, voir les tirs-ailleurs, un peu de modestie !!
Si votre adresse s’envole des que la situation est un peu tendue, changez de métier !
Certains tombent aussi dans la facilité, car pour devenir un bon pointeur, il faut des années de travail et beaucoup d’expérience.
Les techniques de point sont si variées qu’il est très difficile de toutes les maitriser.
Or pour le tir, avec de bonnes qualités d’adresse et un travail sérieux, on arrivera à attraper des boules.
Mais ne vaut-il pas mieux devenir un bon pointeur que de rester un tireur moyen ?
Voilà bien la question que beaucoup devraient se poser ?
En effet, beaucoup de joueurs ne voient que par leurs carreaux (ce qu’ils font et ce dont ils rêvent) et oublient bien vite leurs cagades!!
C'est pourquoi Je dis:
« Compter déjà vos trous avant de me parler de vos frappes » !
Le seul argument que je concède aux joueurs qui veulent briller au tir, c’ est l’évolution de la nature des terrains.
Les surfaces proposées dans un grand nombre de concours facilitent le tir et limitent un peu l’expression des pointeurs de talent, car les données ne sont pas toujours évidentes.
Ces terrains artificiels ne mettent pas en valeur la « belle Pétanque », celle que j’aime.(Ce n’est que mon point de vue).
Je souhaite que cette publication donne à réfléchir à tous ces pratiquants qui pensent que le tir est l’arme absolue, à tous ceux qui renâclent à se perfectionner au point et qui trépignent d’impatience pour aller tirer, dès qu'il voit une boule s'approcher du bouchon.
Lorsque l’on n’est pas en mesure de frapper 3 boules sur 4 à toute distance et que l’on pointe de façon aléatoire, a quoi sert-on dans une équipe !!
Voilà, sans doute, la morale de cette histoire !
« Alors dis-moi maintenant, tu tires ou tu pointes »
Je vous souhaite à tous, une bonne lecture de cette publication.
Retrouvez moi dans « Pétanque, quand tu nous tiens ! », que vous pourrez acquérir sur :
http://blogpetanque.com/passiondujeu/,
https://www.cultura.com/,
https://www.fnac.com/,
Amicalement, Frédéric NACHIN.
Pourquoi ce sujet !!
Lorsque l’on monte une partie de boules, revient l’éternelle question :
« Qui tire ? »
Je profite de cette publication pour rappeler qu’en équipe, on doit occuper le poste où on apporte le plus à la formation.
Etre partenaire, c’est se mettre au service d’un collectif.
Cette évidence (qui ne l’est pas pour tous) est pourtant fondamentale.
Ce n’est pas parce qu’on a des compétences au tir que l’on occupera ce poste si par ailleurs on est un pointeur régulier et complet (au sens que l’on maitrise toutes les techniques de lancer).
Je n’ai jamais compris cette querelle qui peut exister entre joueurs pour savoir lequel d’entre eux occupera le poste de tireur.
Le tir et le point sont indissociables.
Ils sont complémentaires l’un de l’autre.
Je veux aussi rappeler qu’il vaut bien mieux faire du jeu au point que d’être un tireur inconstant.
Sans doute se cache derrière tout ça un point de vue un peu machiste.
Le tireur serait l’homme, celui qui en a.
Quant au pointeur, sa représentation serait plutôt féminine.
Au point que certains joueurs ne veulent céder leur place à aucun prix, même s’ils transforment le terrain en champ de laboures.
Il y aurait donc les mauvais joueurs, incapables de toucher une boule et les bons, ceux qui frappent des boules.
Si le tir a un coté spectaculaire aux yeux des néophytes et des spectateurs, c’est sans doute parce que les gens ne se rendent pas compte de la difficulté à maitriser une boule.
Être tireur, ce n’est pas faire le barbeau devant les copains le soir après le boulot, mais c’est frapper un grand nombre de boules dans la rudesse de la compétition.
Et croyez-moi, c’est bien une autre affaire !
Alors messieurs les tireurs d’opérette, les tirailleurs, voir les tirs-ailleurs, un peu de modestie !!
Si votre adresse s’envole des que la situation est un peu tendue, changez de métier !
Certains tombent aussi dans la facilité, car pour devenir un bon pointeur, il faut des années de travail et beaucoup d’expérience.
Les techniques de point sont si variées qu’il est très difficile de toutes les maitriser.
Or pour le tir, avec de bonnes qualités d’adresse et un travail sérieux, on arrivera à attraper des boules.
Mais ne vaut-il pas mieux devenir un bon pointeur que de rester un tireur moyen ?
Voilà bien la question que beaucoup devraient se poser ?
En effet, beaucoup de joueurs ne voient que par leurs carreaux (ce qu’ils font et ce dont ils rêvent) et oublient bien vite leurs cagades!!
C'est pourquoi Je dis:
« Compter déjà vos trous avant de me parler de vos frappes » !
Le seul argument que je concède aux joueurs qui veulent briller au tir, c’ est l’évolution de la nature des terrains.
Les surfaces proposées dans un grand nombre de concours facilitent le tir et limitent un peu l’expression des pointeurs de talent, car les données ne sont pas toujours évidentes.
Ces terrains artificiels ne mettent pas en valeur la « belle Pétanque », celle que j’aime.(Ce n’est que mon point de vue).
Je souhaite que cette publication donne à réfléchir à tous ces pratiquants qui pensent que le tir est l’arme absolue, à tous ceux qui renâclent à se perfectionner au point et qui trépignent d’impatience pour aller tirer, dès qu'il voit une boule s'approcher du bouchon.
Lorsque l’on n’est pas en mesure de frapper 3 boules sur 4 à toute distance et que l’on pointe de façon aléatoire, a quoi sert-on dans une équipe !!
Voilà, sans doute, la morale de cette histoire !
« Alors dis-moi maintenant, tu tires ou tu pointes »
Je vous souhaite à tous, une bonne lecture de cette publication.
Retrouvez moi dans « Pétanque, quand tu nous tiens ! », que vous pourrez acquérir sur :
http://blogpetanque.com/passiondujeu/,
https://www.cultura.com/,
https://www.fnac.com/,
Amicalement, Frédéric NACHIN.