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6-2 PETANQUE


En 1996, avec Picot nous n'étions pas qualifiés au CDF triplette qui avait lieu à Vichy-Bellerive-Sur-Allier. Nous décidons d'aller supporter nos 2 équipes d'amis, Farjon, Léger et Dorigny d'une part, et Stohr, Fouilhé et Le Lons d'autre part.
C'est Picot qui conduisait sa 405.
Mauvais climat froid, averses, terrains boueux, pas de quoi mettre un supporter dehors!
Nous tenons néanmoins jusque vers 16 heures, heure qu'avaient choisie nos poulains pour chuter à 10 minutes d'intervalle.
Debriefing rapide, et direction buvette, pour un concours d'anthologie!
Nous avons bu des canons de kir royal avec la France entière, tant et si bien que la serveuse nous en payait au moins un tous les 2 tours, et que les heures ont passé, passé...
Il nous semblait bien qu'il y avait de moins en moins de monde dans le grand hall, surtout quand on s'est retrouvés plus que nous 2 avec notre copine la serveuse, qui nous a dit: "Désolée, mais vous avez vidé tout le stock!"
Il était 2 heures...Picot s'exclame: " comment on va retrouver la voiture, tu sais où on est garés?"
On sort du barnum qui faisait face au parking bien éclairé, et pour trouver la voiture, ça n'a pas été trop dur: c'était la dernière qui restait presqu'au fond!


Le régime de Vichy.

Rédigé par Gilles Gaillard le Dimanche 14 Décembre 2014 à 17:23 | Commentaires (0)

Etant un vieux de la vieille, j'ai eu l'idée saugrenue de revisiter l'histoire de la pétanque de mes jeunes années, à l'aide du quizz du site de référence, sur les photos des anciennes vedettes, que j'ai eu la (mal)chance de côtoyer, en tâchant de les agrémenter d'anecdotes authentiques leur étant relatives...
Je vous parle d'un temps que les moins de 20 ans ne peuvent pas connaître, celui d'avant l'apparition des robots-terminators!





Olivier Dorigny.
Olivier Dorigny.
Nous commençons par Olivier Dorigny, jeune corse monté à Paris dans les années 1985, pour se forger un palmarès remarquable, notamment en tant que tireur des mangeurs de terre Jean-Pierre Boulet et Vincent Nervosi, et des superstars Alain Bideau et Didier Choupay, Jean-Luc Testas, et Alain Farjon inséparable de Sylvain Pilewski.
Nous eûmes la chance de le compter parmi nos licenciés de l'US Meaux à sa grande époque, à laquelle il ramena le titre triplette et individuel 77!
Et aussi celle de l'accueillir tous les vendredis soirs aux fiestas du club jusqu'à point d'heure, lui qui venait de Saint-Quentin-En-Yvelines, à 80 kms de l'autre côté de Paris!
Pour ma part je n'ai eu la chance de ne jouer avec lui qu'une seule fois, associés à Zoubir Al-Sid-Cheik, au national de Rouen en 2007, nous inclinant en huitièmes face à Guillotte-Martineau-Le Lons.
Cet excellent camarade mérite toute notre considération, lorsque l'on sait qu'il est spasmophile depuis tout jeune!
Quelle belle saison 2014 avec une double qualif aux CDF doub et trip!
Un come-back tonitruant! (Je n'ai pas dit que Tony est un truand!)



Cabaret.
Cabaret.
Ce champion de France individuel 1994 vous est très certainement inconnu...
Néanmoins il a remporté ce titre de haute lutte dans des conditions épiques!
Notre président Michel et votre serviteur ne pourront qu'abonder, car ils y étaient, le premier en tant que champion individuel du CD 62, et le second en tant que champion doublette du 77 avec André Poiret!
40° à l'ombre durant les 2 jours à Saint-Avold, et le terrain sans la moindre once d'ombre!
La finale se déroula devant 400 spectateurs au plus, face à J.D.Fieschi, les gens faisant la queue à la pompe incendie pour remplir leurs bouteilles plastiques et se les déverser sur la tête!
PS: c'est là qu'aura lieu de CDF doublette cette année!!!
Par sécurité sanitaire, nous avons pris la précaution de ne pas nous qualifier...


Marcel Sarnito, François Mélis et Jean Paon.
Marcel Sarnito, François Mélis et Jean Paon.
J'avais 5 ans lorsque ces 3 légendes furent champions de France!
Marcel Sarnito à gauche, le seul que Foyot 10 ou 20 plus tard refusait d'affronter en t-à-t à Auteuil, et qui tenait toujours à jouer son propre argent, et détient le record de tir du bois avec un carreau pour la gagne à 22 mètres au-dessus du fossé!
François Mélis au milieu, qui inscrira son nom à vie dans les tablettes en tant que triple vainqueur de la Marseillaise 1974-75-76, associé à son inséparable seigneur Raymond Authieu, et le Dylan de l'époque, Jean-Marc Foyot, mon modèle historique!
Jean Paon: triple champion du monde et de France, doublette et triplette!!!
En 1987, Dédé Galofre, Willy Stohr et votre serviteur, empêchèrent le fameux François de se qualifier au CDF, bien qu'équipé avec Popeye et Guy Bentolila!
Auparavant en 1979, j'avais eu la chance de remplacer Marco retardé à Paris, à l'exhibition des 3 jours de Bordeaux, en tant que tireur, pour nous incliner face au fameux Bissières, associé à Milhano et Gruget!

Daniel Rizo, Patrick Milcos et André Justaffrè.
Daniel Rizo, Patrick Milcos et André Justaffrè.
Celle-ci m'est particulièrement chère!
1- Dédé Justaffrè fut mon partenaire en 1981 au CDF au Mans où nous avons perdu en huitièmes contre Ducarouge(+), Schimizi, et leur 3ème, père d'un footballeur pro dont le nom m'échappe...
Et il était le père de mon ami d'enfance Georges!
2- Daniel Rizo était son partenaire en 1982, 83,84, et mon copain par conséquence, avec qui nous n'avons joué qu'une fois, le 1 novembre, au grand prix de neuilly-sur-marne, et qui m'a ramené chez moi à 5h30 du matin!
3- Patrick Milcos, un ennemi historique, qui ne nous a jamais battu, même à Reims avec Loy et Dorigny (13-0!!!), ni à Sevran avec Zemmour et Tournay (13-2), ni à Dijon avec Choupay et Loy (13-10).

Alain Maurer à gauche et Antoine Esteban au milieu.
Alain Maurer à gauche et Antoine Esteban au milieu.
Sur cette photo, de très bons souvenirs et mon pire, s'il en est un, sont réunis!
Ce CDF triplette à Tours en 1975, fut le premier auquel j'ai assisté à 15 ans, en tant que supporteur de mes amis Justaffrè, Agrinier et Galofre.
A gauche Alain Maurer, un jeune alsacien excellent et joueur de partie d'intérêt, spécialiste du tête-à-tête à 4 boules, contre lequel j'en ai fait des dizaines à Deauville et Cabourg en été, car il est venu 4 ou 5 ans en vacances là-bas. Nous avons sympathisé, mais jamais joué ensemble, sachant tous les 2 que nos caractères n'étaient pas compatibles au jeu.
Au milieu Antoine Esteban, la vedette alsacienne historique, contre lequel j'ai perdu en seizièmes du CDF t-à-t 1979 à Mulhouse, en faisant 2 palets et la frappe pour la gagne à 11-12, avant que sa dernière boule ne soit bloquée à environ 2,50m du but par un bloc de goudron, puis se mettre à redescendre du côté lisse, jusqu'à finir à 30 cms du but, et lui permettre de gagner! Là encore nous avons sympathisé, et j'ai eu plaisir à le croiser à Beaucaire où il était encore présent 37 ans plus tard, mais sans ses cheveux!

Chemisette trop claire, c'est pas clair!
Chemisette trop claire, c'est pas clair!
CDF triplette à Mâcon en 1989, sortie de poule à 14h. Pas de Willy! Nous apprenons un quart d'heure plus tard que sa femme, ayant mal au pied, l'a obligé à aller faire les magasins, pour trouver "chaussure à son pied"!
Il arrive avec 20 minutes de retard, nous jouons contre les 2 Santiago et leur partenaire dont le nom m'échappe, qui avait gagné la marseillaise...
Sans avoir jeté une boule, le pauvre Willy tape 1 sur 6 dans les 3 premières mènes, et au bout de 3/4 d'heure nous nous retrouvons 1-12 derrière, car avec Dédé nous ne faisions guère mieux!
Puis le vent tourne, nous nous mettons à jouer correctement, et remontons 12 partout!
Moi qui ais une légère propension à l’embonpoint, je n'entrais plus dans notre chemisette jaune du CD 77...J'en avais donc acheté une similaire à ma taille la semaine d'avant, mais elle était plus claire!
L'arbitre, avec lequel je n'étais pas vraiment copain, n'a pas manqué de le remarquer, et m'avait déjà donné 2 avertissements au cours de la partie, en exigeant que je mette la tenue homogène, ce qui était impossible!
J'ai placé ma dernière boule à 5 cm devant le but, et il restait une dernière boule à Santiago, qui nous a fait une patinette sans que rien ne bouge, au moment-même où l'arbitre entrait sur le terrain pour me mettre le carton rouge!!!
Nous avons donc perdu 2 fois sur une seule boule, original, non?

Picot.
Picot.
Je n'ai eu la chance de jouer avec Patrick Del Toso que 2 années en 1994 et 1995, avec une qualification pour le CDF trip à Angoulème 1994, où nous sommes inclinés 9-13 contre 3 truffes: J.L.Robert, J.Y. Loulon, et Laurent Morillon, futurs demi-finalistes.
Mais avec lui j'ai rigolé pour 30 ans!
3 exemples:
- tapé gagné manqué perdu à 13m à Nangis, à la sautée: "laisse-moi tirer, je peux pas la manquer!", pile!
- carreau gagné manqué perdu à 7-12, à 4h du matin en 1/16èmes au national de Sevran: "t'inquiète, y sont morts!", pile!
- simple concours à Roissy en finale sans fade, le gars en face dit à la volée: "qui c'est çui-là, y manque jamais!"
Première, pile, "çà c'est mon prénom, la prochaine c'est mon nom!"
Deuxième, re-pile: "le v'là mon nom!", "allez vous faire effacer!"
J'ai encore la coupe à la maison!


André Galofre avec la coupe.
André Galofre avec la coupe.
Ponthierry 1982, National doublette (çà existait à l'époque)!
Finale contre les champions du Loiret, Lemaire en rose à gauche, et son partenaire à droite en bleu ciel, juste derrière nous, pas de fade...
0-12 derrière...et victoire quand même! Pas fréquent!
Mes copains de Ponthierry m'ont dit que cette photo est toujours dans les expositions du club!


Laurent Zemmour.
Laurent Zemmour.
Laurent Zemmour... Un tireur d'une adresse diabolique, qui a réussi à ne faire que des mauvais choix dans sa carrière, qu'il a suspendue une vingtaine d'années avant de réapparaître à Paris il y a 3 ans, après avoir été tricard de partout.
Je ne l'ai affronté qu'une seule fois au national de Sevran en 1992, équipé avec Galofre et Faussier, et lui avec Tournay et Milcos, à la première.
Partie légèrement tendue puisque nous ne nous adressions pas la parole avec ses 2 partenaires...que nous avons gagnée 13-2!
A la 2ème, Lozano, Robert et Morillon, 13-2 aussi!
A la 3ème, Donald, Popeye et Yinyin, 13-5!
J'ai pensé dans ma petite tête: on est encore mieux partis que l'an dernier où nous avions gagné, avec Fouilhé et Stohr...
Sauf qu'à la dernière du soir, on a pris une bonne rouste 3-13 contre 3 inconnus!

Serge Autebon, Patrick Barataud et André Gally.
Serge Autebon, Patrick Barataud et André Gally.
Je rebondis sur celle-ci un peu facilement, n'ayant jamais affronté Dédé Gally, malgré nos nombreux déplacements dans le Sud-Ouest à l'époque.
J'ai eu l'occasion de le voir jouer un nombre incalculable de fois, et force est de reconnaître qu'il était un meneur de bouchon hors pair, et de plus excellent au tir à froid, ce qui faisait de lui un partenaire recherché des meilleurs!
Par contre j'ai souvenir de 2 grosses parties face à chacun de ses 2 partenaires.
1) Contre Barataud associé à Canava en demi du CDF 1977, avec une défaite 9-13, grâce à une superbe mène de 6 palets plein fer (?!?!) gagnants à 8 mètres de leur part, pour marquer 5 points à 5-6, et porter le score à 5-11, ce qui nous a été fatal.
2) Contre Autebon, associé à Simoes et Laville(+), en seizièmes au national des Lilas en 1988, où je me suis retrouvé carreau gagné manqué perdu à 11-12, en plein milieu du carré, et où je n'ai pu tirer ma boule qu'au bout d'une vingtaine de minutes , notre jeu ayant débordé sur celui d'à côté où jouaient Robert, Lucchesi et Palazon, loin d'être des recordmen de vitesse, dans une mène avec 2 mesures de l'arbitre!
26 ans plus tard, je me rappelle très bien ne pas avoir fait carreau, mais palet de 15 cms lol!

Christophe Trembleau.
Christophe Trembleau.
Invaincu face à ce triple CDF, que je n'ai joué qu'une fois!!!
Seizièmes à Rouen 2007 à 2h du matin: Trembleau, Faragout, Bua, contre Dorigny, Al Sid Cheik et votre serviteur. Nous l'emportons 13-11, mais avons laissé trop de force dans ce match (ou la troisième mi-temps?), pour résister à Alves,Martineau et leur partenaire le lendemain matin...

Bruno Rocher.
Bruno Rocher.
Tout petit déjà il ne savait pas sourire, même champion de France...

Rédigé par Gilles Gaillard le Dimanche 30 Novembre 2014 à 21:35 | Commentaires (17)
dissolution du club
Bonjour à toutes et tous
Suite à la dissolution de notre club (officielle depuis ce jeudi 27 novembre et la réception du récipissé de la préfecture), je tenais à remercier les joueurs et joueuses qui m'ont fait confiance durant les 2 années d'existence du 6-2petanque.
Un merci particulier à gilles ,notre webmaster et secrétaire pour son aide et les bons moments passés ensemble mais "ça c'est pas fini" lol.
Un merci spécial à éric de nous avoir fait l'honneur de signer chez nous alors qu'il réside en seine et marne .
Enfin je souhaite bonne chance à tous les joueurs et vous souhaite de rebondir dans vos nouveaux clubs respectifs.
Votre ex-président ,
Michel

Rédigé par Michel le Samedi 29 Novembre 2014 à 18:42 | Commentaires (0)

En 1979 est arrivé en Seine-et-Marne un jeune Narbonnais à la stature impressionnante, et la sympathie évidente. Il écumait les concours du 77 en compagnie de sa charmante femme, à l'époque où les concours mixtes n'existaient même pas! Tous leurs adversaires se sont pris de sympathie pour eux à double titre: leur niveau de jeu, car c'est toujours ce qui attire l'attention, et la convivialité qu'ils dégageaient...
Leur engouement pour la pétanque et le JP n'a pas tardé à poindre, à telle enseigne qu'il ne leur a pas fallu longtemps pour intégrer le CD77, puis en devenir les Président et Secrétaire!
Ils se sont attiré l'adhésion de tous, de par leur profond amour et respect du jeu et des joueurs.
"Coco Creuzé", ex-Président du CD 77, l'a bien compris, qui a fait de Jacques, premièrement son successeur en tant que président du club de Melun, phare historique du 77, puis Président du Comité IDF, toujours épaulé par sa fidèle Christiane.
Puis à force de dévouement et de travail, et malgré l'obligatoire abandon de Christiane pour cause d'obligations professionnelles, Jacques a gravi avec mérite tous les échelons jusqu'à la présidence de la ligue IDF, à la tête de laquelle il a effectué 3 mandats.
Il a sacrifié sa carrière de joueur pour celle de dirigeant, et a inspiré le respect et la reconnaissance de tous!
Il a réussi à inculquer le devoir de bénévolat à nombre de simples joueurs, à commencer par votre serviteur et Eric Galofre, et jusque Didier Choupay!
Si je n'avais pas eu la chance de devoir venir m'installer dans notre belle région, j'aurais pris sa succession qu'il m'avait préparée en 2005, après avoir été le directeur sportif du CD 77 pendant 7 ans, et sous sa direction de Président d'IDF...
Aujourd'hui il se retire enfin du côté de Dax, depuis qu'il attendait la retraite de Christiane qui occupait une fonction importante dans un grand groupe automobile parisien.
Mais quelque chose me dit que le grand gagnant de l'opération devrait être le comité des Landes,ses bandas,ses chants et sa sangria....
PS: mes excuses pour la photo floue, mais je crois savoir qu'elle lui est chère...


Jacques Guigue, William Stohr, Gilles Gaillard, champions doublette du 77 1990, et Jacques Creuzé.
Jacques Guigue, William Stohr, Gilles Gaillard, champions doublette du 77 1990, et Jacques Creuzé.
C'est toute l'image du bonhomme! Il a réagi en me disant qu'il ne méritait pas tant d'éloges! Alors que le CD 77 et la ligue IDF lui doivent la place qu'ils occupent aujourd'hui!


Jacques Guigue à droite.
Jacques Guigue à droite.
Notre Président et son épouse sont actuellement dans la douleur familiale, juste au moment où ils pouvaient enfin profiter de leur retraite conjointe dans les beaux environs de Dax...
Pourvu que tout s'arrange!


Rédigé par Gilles Gaillard le Samedi 13 Septembre 2014 à 22:42 | Commentaires (1)

L'an dernier était le quarantième anniversaire de la victoire au CDF de José Garcia, associé à Jean Kokoyan et au légendaire Baldo Santiago. Cette équipe avait la particularité de jouer sans tireur, celui qui était milieu prenant le tir dès que l'autre manquait une boule au tir en premier!
J'ai pu assister à l'une de ses dernières sorties au CDF 1977 à La Courneuve. Il jouait avec Pépé Ruiz et Pipette Lubrano, contre les drômois de Vergès en quart. A 9-11 après avoir fait un superbe carreau à 10 mètres, Garcia se retrouva avec 2 points et sa dernière boule pour faire 12 facilement. Mais il y avait la possibilité de faire 9 et 4 13 en faisant un pile ou un rétro sur une boule drômoise à 12 mètres, à la sautée et en côté de boule entre le deuxième point et le quatrième éventuel: pire qu'un tir de précision d'aujourd'hui! Ses partenaires lui prônaient la sécurité, mais lui ne les a pas écouté et a tiré quand même: ce que personne n'avait prévu et sûrement jamais vu, c'est un brochet du pauvre José, 80cms court, oreille sur le premier point, ricochet sur le deuxième, marteau sur la troisième, et résultat 2 points à 2 mètres et 13 pour les adversaires!!!!
Le malheureux s'est fait incendier pendant 20 minutes par ses 2 aimables associés, qui ont terminé par un péremptoire: " retourne jouer avé Baaaldo!"


José Garcia.
José Garcia.
Aujourd'hui, les meilleurs milieux, ou seconds tireurs, et les meilleurs pointeurs, ou seconds milieux, tueraient père et mère pour jouer avec les plus grands tireurs...
Ce n'est à coup sûr pas la meilleure manière de monter les meilleures parties!
La preuve en est, puisque le légendaire Baldo, laissait toujours tirer devant lui José Garcia. Le plus fort n'est jamais le tireur, mais le milieu!


Rédigé par Gilles Gaillard le Samedi 13 Septembre 2014 à 22:34 | Commentaires (1)
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