Charles affectueusement appelé "lole", était un personnage d'une belle trempe, celle des hommes droits et loyaux. Ceux qui l'ont côtoyé vous le diront, le bonhomme n'était pas de tous les jours comme tout autant attachant. Parfois grincheux et adepte de la bonne pique, celle qui tellement elle est dite crue, pouvait vous faire fondre de rire ou vous abattre le plus terrible des gaillards.
Ceux qui l'ont aimé de près vous diront le privilège d'avoir eu les faveurs de cette belle nature débordante de vie et rempli de gentillesse. La vie avec Lole n'a pas toujours été tendre, le bon dieu non plus en lui enlevant les vingt printemps de son petit franck. Dans ces cas là, remonter la pente ne tient qu'au courage et à l'amour porté à son épouse Monette, son fils Roland et les boules, oui, les boules...
Si Charles écuma de ses victoires à pétanque tous les boulodromes Varois et limitrophes avec Baldassare et son ami Jeanot Dallorto (lui aussi parti vers d'autres cieux) celui qu'il considérait comme son frère, il n'en était pas moins un sacré client sur la longue distance. Pour preuve, sa dernière victoire obtenu peu après avoir fêté ses 80 ans au jeu provençal chez les vétérans avec son ami et comparse de tous les jours et indissociable Bouassoun à Pierrefeu (83), là même où il avait fait sa carrière professionnelle au Centre hospitalier spécialisé Henri Guérin.
Dans les gradins du stade Mayol dont il était abonné du RCT depuis le premier jour, sur les boulodromes où il connu ses plus belles victoires dans l'amitié et dans le petit village de Puget-Ville , un homme de coeur manquera.
Il y aurait tellement à dire sur ta personne, mais tu n'aurais pas été content que l'on s'épanche plus qu'il n'en faut après ton départ. Alors...
Lole, ta famille te pleure et tes amis ne t'en veulent pas d'être parti sans prévenir rassure-toi, nul d'entres nous ne t'oubliera, ton sourire illuminé d'un bleu azur nous manque déjà.
Repose en paix Charles et quand tu arriveras la haut, embrasse bien fort Jeanot pour nous, on en est sûr, avec ton Franck ils t'y attendent les bras ouverts.
Les obsèques de Charles se sont déroulées ce 19 Juillet dans son petit village natal de Puget-Ville. Son petit fils et sa petite fille étaient autant émus qu'impressionnés en estimant plus de mille personnes au pied de l'église venues accompagner leur grand père à sa dernière demeure. En tête de cortège l'hommage du monde bouliste suivant le pas de la famille et du maire Max Bastide, ses amis champions Varois Dédé Salle, Momond Gibert, Bert Matraglia, José Iglésias, Alain Matton, Germain Laugier, André Herrero, Astésana, Alfièri (père et fils), Palombo, Rebecq, Signoret, Barra, Ghibo, Bonnus, les familles Salle, Truc et tous les autres ne pouvaient manquer de saluer l'homme estimé et respecté de tous.
Epilogue de ce triste jour autour d'un pot de l'amitié et de recueillement à la mémoire de Lole chez son petit neveu Stéphane au "Grand Café" là où il avait coutume après le déjeuner à faire parler sa science des cartes, en l'occurence la fameuse contrée qui n'aura elle non plus la même saveur.
Ceux qui l'ont aimé de près vous diront le privilège d'avoir eu les faveurs de cette belle nature débordante de vie et rempli de gentillesse. La vie avec Lole n'a pas toujours été tendre, le bon dieu non plus en lui enlevant les vingt printemps de son petit franck. Dans ces cas là, remonter la pente ne tient qu'au courage et à l'amour porté à son épouse Monette, son fils Roland et les boules, oui, les boules...
Si Charles écuma de ses victoires à pétanque tous les boulodromes Varois et limitrophes avec Baldassare et son ami Jeanot Dallorto (lui aussi parti vers d'autres cieux) celui qu'il considérait comme son frère, il n'en était pas moins un sacré client sur la longue distance. Pour preuve, sa dernière victoire obtenu peu après avoir fêté ses 80 ans au jeu provençal chez les vétérans avec son ami et comparse de tous les jours et indissociable Bouassoun à Pierrefeu (83), là même où il avait fait sa carrière professionnelle au Centre hospitalier spécialisé Henri Guérin.
Dans les gradins du stade Mayol dont il était abonné du RCT depuis le premier jour, sur les boulodromes où il connu ses plus belles victoires dans l'amitié et dans le petit village de Puget-Ville , un homme de coeur manquera.
Il y aurait tellement à dire sur ta personne, mais tu n'aurais pas été content que l'on s'épanche plus qu'il n'en faut après ton départ. Alors...
Lole, ta famille te pleure et tes amis ne t'en veulent pas d'être parti sans prévenir rassure-toi, nul d'entres nous ne t'oubliera, ton sourire illuminé d'un bleu azur nous manque déjà.
Repose en paix Charles et quand tu arriveras la haut, embrasse bien fort Jeanot pour nous, on en est sûr, avec ton Franck ils t'y attendent les bras ouverts.
Les obsèques de Charles se sont déroulées ce 19 Juillet dans son petit village natal de Puget-Ville. Son petit fils et sa petite fille étaient autant émus qu'impressionnés en estimant plus de mille personnes au pied de l'église venues accompagner leur grand père à sa dernière demeure. En tête de cortège l'hommage du monde bouliste suivant le pas de la famille et du maire Max Bastide, ses amis champions Varois Dédé Salle, Momond Gibert, Bert Matraglia, José Iglésias, Alain Matton, Germain Laugier, André Herrero, Astésana, Alfièri (père et fils), Palombo, Rebecq, Signoret, Barra, Ghibo, Bonnus, les familles Salle, Truc et tous les autres ne pouvaient manquer de saluer l'homme estimé et respecté de tous.
Epilogue de ce triste jour autour d'un pot de l'amitié et de recueillement à la mémoire de Lole chez son petit neveu Stéphane au "Grand Café" là où il avait coutume après le déjeuner à faire parler sa science des cartes, en l'occurence la fameuse contrée qui n'aura elle non plus la même saveur.
