La SVCP avait réussi le doublé au championnat de l’Essonne à l’ABP : champions, Pascal Izanic et Jérémy Alehause et vice-champions, Frédéric Sireyzol et Richard Perrier.
Le championnat se déroulait sur le cours Foucault, magnifique parc montalbanais, idéal pour les spectateurs mais pas pour le jeu car il n’y a pas de sécurité à l’appoint et le tir est très difficile (ça ramasse très peu). A noter la présence d’une dizaine de supporters castelvirois (licenciés actuels ou anciens) et aussi d’un ancien licencié qualifié au titre du Gers, Éric Trouvin, auteur d’un beau 8ème.
Dans la première des poules, Pascal et Jérémy étaient dominés à l’appoint par le pointeur de Basse Normandie qui envoyait à merveille. Nos castelvirois, moyens au point et au tir, ne parvenaient pas à contester cette domination.
Poule de 3 (suite à la disqualification de la Franche-Comté) et donc deuxième partie gagnée d’office.
Barrage conter les Alpes de Haute Provence remportée assez aisément grâce à un regain au point et au tir et direction la sortie de poules et les 32èmes de finale. Une bonne chose de faite !
A ce stade, l’adversaire proposé était une équipe de la Ligue PACA (Var) qui, sur les deux premières mènes du pointeur, faisait un peu peur, le tireur n’étant cependant pas au diapason. Mais cela ne durait pas et on assistait à une partie totalement crispante dans laquelle le nombre de boules bien pointées ou bien tirées de part et d'autre étaient loin d’être considérable, en grande partie, il est vrai, en raison d’un terrain « incompréhensible ». Les deux équipes pouvaient gagner (l’Essonne qui avait « tourné » se débattait) mais la partie se jouait principalement sur deux « rentrées à deux » du tireur adverse, la seconde étant fatale à nos couleurs. Dommage.
Le championnat se déroulait sur le cours Foucault, magnifique parc montalbanais, idéal pour les spectateurs mais pas pour le jeu car il n’y a pas de sécurité à l’appoint et le tir est très difficile (ça ramasse très peu). A noter la présence d’une dizaine de supporters castelvirois (licenciés actuels ou anciens) et aussi d’un ancien licencié qualifié au titre du Gers, Éric Trouvin, auteur d’un beau 8ème.
Dans la première des poules, Pascal et Jérémy étaient dominés à l’appoint par le pointeur de Basse Normandie qui envoyait à merveille. Nos castelvirois, moyens au point et au tir, ne parvenaient pas à contester cette domination.
Poule de 3 (suite à la disqualification de la Franche-Comté) et donc deuxième partie gagnée d’office.
Barrage conter les Alpes de Haute Provence remportée assez aisément grâce à un regain au point et au tir et direction la sortie de poules et les 32èmes de finale. Une bonne chose de faite !
A ce stade, l’adversaire proposé était une équipe de la Ligue PACA (Var) qui, sur les deux premières mènes du pointeur, faisait un peu peur, le tireur n’étant cependant pas au diapason. Mais cela ne durait pas et on assistait à une partie totalement crispante dans laquelle le nombre de boules bien pointées ou bien tirées de part et d'autre étaient loin d’être considérable, en grande partie, il est vrai, en raison d’un terrain « incompréhensible ». Les deux équipes pouvaient gagner (l’Essonne qui avait « tourné » se débattait) mais la partie se jouait principalement sur deux « rentrées à deux » du tireur adverse, la seconde étant fatale à nos couleurs. Dommage.
Frédéric et Richard entamaient fort bien ce championnat en s’imposant contre les Alpes de Haute Provence grâce à une honnête moyenne au point (vu la difficulté du terrain) et à un beau pourcentage au tir qui s’avérait décisif en fin de partie.
A la deuxième, si l’on excepte une mène de 3 encaissée, ils dominaient largement la Charente au tir et au point et se permettait le luxe de terminer sur un carreau en place. Une bonne chose de faite également !
Leur allant laissait penser qu’ils pouvaient faire un petit parcours. On allait voir ça contre l’équipe de Paris Zoraya– Bianco.
La partie était bien entamée par nos sociétaires, néanmoins le score était assez serré. Mais elle allait tourner au vinaigre sur une mène où nos essonniens avec quatre points à terre (qui aurait fait 7 à 6 au score) donnaient le point à l’adversaire avec la dernière et Richard avouait « être descendu du train » après ce coup du sort. Dommage également.
Il n'a pas manqué tant que ça pour revenir le samedi matin en 16ème et le fait de s'être extirpé des poules en battant notamment des équipes des Alpes de Haute Provence (un fief du jeu provençal) est un point positif.
En illustration, les photos officiels.
Alain FAGES / 31.08.2015
A la deuxième, si l’on excepte une mène de 3 encaissée, ils dominaient largement la Charente au tir et au point et se permettait le luxe de terminer sur un carreau en place. Une bonne chose de faite également !
Leur allant laissait penser qu’ils pouvaient faire un petit parcours. On allait voir ça contre l’équipe de Paris Zoraya– Bianco.
La partie était bien entamée par nos sociétaires, néanmoins le score était assez serré. Mais elle allait tourner au vinaigre sur une mène où nos essonniens avec quatre points à terre (qui aurait fait 7 à 6 au score) donnaient le point à l’adversaire avec la dernière et Richard avouait « être descendu du train » après ce coup du sort. Dommage également.
Il n'a pas manqué tant que ça pour revenir le samedi matin en 16ème et le fait de s'être extirpé des poules en battant notamment des équipes des Alpes de Haute Provence (un fief du jeu provençal) est un point positif.
En illustration, les photos officiels.
Alain FAGES / 31.08.2015