Les deux équipes SVCP qualifiées pour ce championnat de France ont tenu la route, même si pour l’une d’entre elles le chemin aurait pu se poursuivre encore un peu.
Les champions de Ligue 2013, Maxime Peloux et Nicolas Le Gall, dont c’était la première participation à un France de jeu provençal, « ramaient » sur la première partie contre les Landes (Frédéric et Cyrille Vignes). A 2-9, l’adversaire avait 10 à terre, quatre boules en main et finalement deux boules pour taper à la gagne… Avec sa deuxième, le tireur landais chiquait et donnait le point aux castelvirois. Cette mène sonnait la résurrection de Max et Nico qui jouaient de mieux en mieux - contrairement à l’adversaire – et qui finissaient par s’imposer 11 à 9. Heureux de gagner leur première partie dans un Championnat de France les collègues.
Un adversaire de taille leur était proposé à la deuxième partie, une formation du Gard composée de Jean-Pierre FERRET, ancien champion de France, et de Julien AGUERRO. Déjouant le pronostic et produisant leur meilleure partie du championnat, tant à l’appoint qu’au tir, ils s’imposaient à 7 pour une magnifique sortie directe de poule contre les futurs demi-finalistes quand même !
En 32ème de finale, le tirage au sort les dirigeait contre une équipe du Var composée de Cédric Girard et de Yohann Séguy. Le gros pourcentage au tir du bombardier varois, 80 % de réussite, ne permettait pas aux castelvirois de respirer et ils s’inclinaient assez largement sans cependant avoir démérité. Vu de l’autre coté des barrières, un petite regret : la dernière mène aurait pu ne pas être fatale avec une option « cassage de la gagne ».
Leur très honorable figuration leur donnera certainement l’envie de poursuivre la pratique de ce beau jeu pour affronter à nouveau les meilleurs.
Les champions de Ligue 2013, Maxime Peloux et Nicolas Le Gall, dont c’était la première participation à un France de jeu provençal, « ramaient » sur la première partie contre les Landes (Frédéric et Cyrille Vignes). A 2-9, l’adversaire avait 10 à terre, quatre boules en main et finalement deux boules pour taper à la gagne… Avec sa deuxième, le tireur landais chiquait et donnait le point aux castelvirois. Cette mène sonnait la résurrection de Max et Nico qui jouaient de mieux en mieux - contrairement à l’adversaire – et qui finissaient par s’imposer 11 à 9. Heureux de gagner leur première partie dans un Championnat de France les collègues.
Un adversaire de taille leur était proposé à la deuxième partie, une formation du Gard composée de Jean-Pierre FERRET, ancien champion de France, et de Julien AGUERRO. Déjouant le pronostic et produisant leur meilleure partie du championnat, tant à l’appoint qu’au tir, ils s’imposaient à 7 pour une magnifique sortie directe de poule contre les futurs demi-finalistes quand même !
En 32ème de finale, le tirage au sort les dirigeait contre une équipe du Var composée de Cédric Girard et de Yohann Séguy. Le gros pourcentage au tir du bombardier varois, 80 % de réussite, ne permettait pas aux castelvirois de respirer et ils s’inclinaient assez largement sans cependant avoir démérité. Vu de l’autre coté des barrières, un petite regret : la dernière mène aurait pu ne pas être fatale avec une option « cassage de la gagne ».
Leur très honorable figuration leur donnera certainement l’envie de poursuivre la pratique de ce beau jeu pour affronter à nouveau les meilleurs.
En apéritif, les vice-champions de l’Essonne, Pascal Izanic et Jérémy Alehause, auteurs d’un jeu régulier dominaient largement le Doubs (Jérôme Rognon – Emmanuel Gaume).
La deuxième partie allait les opposer à un « maître ès jeu provençal », Jean-Paul Capelle, quatre fois champion de France, équipé pour l’occasion avec Pasquin Cristofari (05). Et cette partie, où ça jouait fort des deux cotés, allait être celle des regrets pour nos sociétaires qui manquaient des occasions de scorer gros en frappant. Par ailleurs, l’adversaire bénéficiait certes d’un peu de réussite (beaucoup même sur une mène) mais Pasquin Cristofari « vendait » quand même quatre points sur la partie ! Ça aurait pu tourner autrement mais la victoire des hauts-alpins n’était pas illogique.
Direction le repêchage contre le Doubs, dominé lors de l’entame. Début de partie en boulet de canon avec un large avantage au score contre une équipe franc-comtoise absente. Puis, faute de conclure une mène qui se présentait avantageusement, ce qui aurait pu tuer la partie, les choses se compliquaient. Pascal et Jérémy baissaient de pied, le jeu de l’adversaire devenait consistant aussi bien à l’appoint qu’au tir (deux ou trois boules arrachées à 19 m) et enfin la réussite s’en mêlait. Un « regain » des nôtres et une dernière mène catastrophique du Doubs permettaient néanmoins une victoire dans la douleur mais quelques plumes avaient été laissé dans la bagarre.
A 19 H 30, début des 32èmes contre la Moselle (Jordane Sala- Vincent d'Urso), une bonne équipe de pétanqueurs. Alors que le score n’était pas acquis, une panne électrique contraignait les participants à reprendre les hostilités le lendemain matin. Le tireur adverse, brillant la veille, ne retrouvait pas son lustre et Pascal et Jérémy passaient le tour sans trop d’encombre.
En 16ème, le Val de Marne d’Alain Da Costa (ancien de l’Essonne) et Freddy Guet semblaient être ce que l’on appelle parfois présomptueusement un « bon tirage ». Et de fait, cette équipe (future demi-finaliste elle aussi) était à la portée des castelvirois qui s’inclinaient à 10 après avoir manqué un nombre important de boules de rajout. Un cap à passer pour la jeunesse dira-t-on. De gros regrets car le parcours aurait pu être intéressant, voire similaire à celui de leurs vainqueurs. Mais bon, un seizième même perdu, reste un seizième et un seizième, ce n’est pas si mal !
Ces résultats, ajoutés au titre de vice-champion de France en triplette, démontrent que l’Essonne est bien une terre de jeu provençal et que la SVCP est une place forte de ce jeu.
De plus, les champions de l’Essonne, Benjamin et Stani Plumail (Mennecy) apportent leur pierre à l’édifice en accrochant un beau seizième de finale.
Pour conclure, nos remerciements à la demi-douzaine de supporters qui ont soutenu nos deux équipes dans le Gard et aux accompagnateurs de la Ligue de l'Ile de France (Michel Verger) et du Comité de l'Essonne (Laurent Daguin et Raymond Ébrard) qui ont bien tenu leur rôle.
Quatre photos à voir dans la Photothèque à la rubrique Joueurs.
Alain FAGES / 31.08.2014
La deuxième partie allait les opposer à un « maître ès jeu provençal », Jean-Paul Capelle, quatre fois champion de France, équipé pour l’occasion avec Pasquin Cristofari (05). Et cette partie, où ça jouait fort des deux cotés, allait être celle des regrets pour nos sociétaires qui manquaient des occasions de scorer gros en frappant. Par ailleurs, l’adversaire bénéficiait certes d’un peu de réussite (beaucoup même sur une mène) mais Pasquin Cristofari « vendait » quand même quatre points sur la partie ! Ça aurait pu tourner autrement mais la victoire des hauts-alpins n’était pas illogique.
Direction le repêchage contre le Doubs, dominé lors de l’entame. Début de partie en boulet de canon avec un large avantage au score contre une équipe franc-comtoise absente. Puis, faute de conclure une mène qui se présentait avantageusement, ce qui aurait pu tuer la partie, les choses se compliquaient. Pascal et Jérémy baissaient de pied, le jeu de l’adversaire devenait consistant aussi bien à l’appoint qu’au tir (deux ou trois boules arrachées à 19 m) et enfin la réussite s’en mêlait. Un « regain » des nôtres et une dernière mène catastrophique du Doubs permettaient néanmoins une victoire dans la douleur mais quelques plumes avaient été laissé dans la bagarre.
A 19 H 30, début des 32èmes contre la Moselle (Jordane Sala- Vincent d'Urso), une bonne équipe de pétanqueurs. Alors que le score n’était pas acquis, une panne électrique contraignait les participants à reprendre les hostilités le lendemain matin. Le tireur adverse, brillant la veille, ne retrouvait pas son lustre et Pascal et Jérémy passaient le tour sans trop d’encombre.
En 16ème, le Val de Marne d’Alain Da Costa (ancien de l’Essonne) et Freddy Guet semblaient être ce que l’on appelle parfois présomptueusement un « bon tirage ». Et de fait, cette équipe (future demi-finaliste elle aussi) était à la portée des castelvirois qui s’inclinaient à 10 après avoir manqué un nombre important de boules de rajout. Un cap à passer pour la jeunesse dira-t-on. De gros regrets car le parcours aurait pu être intéressant, voire similaire à celui de leurs vainqueurs. Mais bon, un seizième même perdu, reste un seizième et un seizième, ce n’est pas si mal !
Ces résultats, ajoutés au titre de vice-champion de France en triplette, démontrent que l’Essonne est bien une terre de jeu provençal et que la SVCP est une place forte de ce jeu.
De plus, les champions de l’Essonne, Benjamin et Stani Plumail (Mennecy) apportent leur pierre à l’édifice en accrochant un beau seizième de finale.
Pour conclure, nos remerciements à la demi-douzaine de supporters qui ont soutenu nos deux équipes dans le Gard et aux accompagnateurs de la Ligue de l'Ile de France (Michel Verger) et du Comité de l'Essonne (Laurent Daguin et Raymond Ébrard) qui ont bien tenu leur rôle.
Quatre photos à voir dans la Photothèque à la rubrique Joueurs.
Alain FAGES / 31.08.2014