Le Français est un curieux individu : il commence toujours par élire des gens qui l'enfument, puis les jette quand l'écran de fumée s'est dissipé au contact des réalités économiques, pour les remplacer par d'autres qui l'endorment dans les mêmes conditions !
Le réveil est brutal, naturellement, mais qu'à cela ne tienne : quand les remplaçants ne sont plus en odeur de sainteté, il pense alors tout simplement à retourner chercher ceux qui les ont précédés : et c'est comme la romance, quand c'est fini, ça recommence, et ça n'en finit jamais...
Finalement le Français est aussi con qu'un jeune chien qui tourne en rond en essayant de se mordre la queue ! Quoi ? Je suis Français aussi ? Ben vi... !