J'ai suivi il y a peu, une polémique vaine et rétrograde concernant la pétanque et son évolution à la Réunion.
Tout était parti d'un propos mis en ligne et qui interpellait sur l'usage de l'ordinateur pour la gestion des concours jeunes mais visant aussi à son usage en général pour tous les concours d'une part et du nouveau mode de qualification pour tous les championnats d'autre part.
Chacun y est allé de son avis et de sa certitude qu'il y avait sans doute mieux à faire, notamment en revenant aux méthodes d'il y a quinze ans. Est-ce bien sérieux ??
Notre monde a évolué et qui ne vit avec cette évolution ne peut être que rétrograde et figé.
A l'heure où chacun de nous est détenteur d'une licence sur support informatisé quoi de plus normal que d'utiliser les outils (sabot de lecture, ordinateur et base de données) nécessaires à l'évolution de notre sport.
Les mêmes personnes qui disent vouloir aider l'évolution de la pétanque locale, sont aussi celles qui prônent à un retour passéiste. En réalité, il me semble que ce qui dérange dans cette évolution nécessaire est que plus aucune équipe n'est protégée lors des tirages parce qu'un ordinateur ne pratique pas le copinage, ne connaît un licencié que par son numéro de licence et n'est, c'est le plus important, l'ami de personne.
Ces personnes nous informent alors qu'ils ne sont que les porte-paroles de licenciés qui se sentent lésés et qu'ils n'agissent que pour "faire remonter" leurs revendications.
Mais d'où tiennent-elles cette mission ? Qui les a mandaté pour celà ?
En vérité, en agissant ainsi, elles refusent des décisions qui ont été adoptées démocratiquement par des instances nationales et par un collectif régional.
C'est à l'unanimité que l'usage de l'ordinateur est devenu effectif ici comme ailleurs, tout comme les nouvelles méthodes de qualification.
Alors oui, l'usage de l'ordinateur pour les tirages oblige de fait les meilleurs à être encore plus les meilleurs, ce d'autant que le nouveau mode de qualification pour les championnats,
2 seules journées, n'autorise plus personne à traîner en route.
Alors oui, les meilleurs se devront d'être vraiment les meilleurs en élevant leur niveau de jeu d'emblée et grand bien leur fasse pour, en atteignant le niveau voulu, ils puissent ensuite nous représenter dignement lors des championnats nationaux.
A défaut et même s'ils s'interrogeaient sur une représentativité autre que la leur lors des "France", on pourra toujours penser qu'à minima d'autres champions qu'eux mêmes feront aussi bien ou aussi mal qu'ils l'auront fait depuis quelques années.
Alors oui, de dire "la critique est bonne si elle est constructive" serait moins risible pour peu qu'on y ressente sérénité et véracité dans les propos émis.
Une critique lancée sous le coup de la colère ou d'une surmotivation (se croire investi d'une mission) peut dépasser une pensée première et provoquer le contraire de l'effet recherché.
Soyez sûr de pouvoir assumer vos affirmations, de rendre votre interlocuteur réceptif et d'accepter à votre tour un point de vue divergent dans les propos de celui ou de celle qui peut vous répondre. A défaut, pensez aussi que : Si la critique est facile, l'art est difficile !!
A bon entendeur.
F BEGUE, président EABP.
Tout était parti d'un propos mis en ligne et qui interpellait sur l'usage de l'ordinateur pour la gestion des concours jeunes mais visant aussi à son usage en général pour tous les concours d'une part et du nouveau mode de qualification pour tous les championnats d'autre part.
Chacun y est allé de son avis et de sa certitude qu'il y avait sans doute mieux à faire, notamment en revenant aux méthodes d'il y a quinze ans. Est-ce bien sérieux ??
Notre monde a évolué et qui ne vit avec cette évolution ne peut être que rétrograde et figé.
A l'heure où chacun de nous est détenteur d'une licence sur support informatisé quoi de plus normal que d'utiliser les outils (sabot de lecture, ordinateur et base de données) nécessaires à l'évolution de notre sport.
Les mêmes personnes qui disent vouloir aider l'évolution de la pétanque locale, sont aussi celles qui prônent à un retour passéiste. En réalité, il me semble que ce qui dérange dans cette évolution nécessaire est que plus aucune équipe n'est protégée lors des tirages parce qu'un ordinateur ne pratique pas le copinage, ne connaît un licencié que par son numéro de licence et n'est, c'est le plus important, l'ami de personne.
Ces personnes nous informent alors qu'ils ne sont que les porte-paroles de licenciés qui se sentent lésés et qu'ils n'agissent que pour "faire remonter" leurs revendications.
Mais d'où tiennent-elles cette mission ? Qui les a mandaté pour celà ?
En vérité, en agissant ainsi, elles refusent des décisions qui ont été adoptées démocratiquement par des instances nationales et par un collectif régional.
C'est à l'unanimité que l'usage de l'ordinateur est devenu effectif ici comme ailleurs, tout comme les nouvelles méthodes de qualification.
Alors oui, l'usage de l'ordinateur pour les tirages oblige de fait les meilleurs à être encore plus les meilleurs, ce d'autant que le nouveau mode de qualification pour les championnats,
2 seules journées, n'autorise plus personne à traîner en route.
Alors oui, les meilleurs se devront d'être vraiment les meilleurs en élevant leur niveau de jeu d'emblée et grand bien leur fasse pour, en atteignant le niveau voulu, ils puissent ensuite nous représenter dignement lors des championnats nationaux.
A défaut et même s'ils s'interrogeaient sur une représentativité autre que la leur lors des "France", on pourra toujours penser qu'à minima d'autres champions qu'eux mêmes feront aussi bien ou aussi mal qu'ils l'auront fait depuis quelques années.
Alors oui, de dire "la critique est bonne si elle est constructive" serait moins risible pour peu qu'on y ressente sérénité et véracité dans les propos émis.
Une critique lancée sous le coup de la colère ou d'une surmotivation (se croire investi d'une mission) peut dépasser une pensée première et provoquer le contraire de l'effet recherché.
Soyez sûr de pouvoir assumer vos affirmations, de rendre votre interlocuteur réceptif et d'accepter à votre tour un point de vue divergent dans les propos de celui ou de celle qui peut vous répondre. A défaut, pensez aussi que : Si la critique est facile, l'art est difficile !!
A bon entendeur.
F BEGUE, président EABP.