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« LA CARICATURE DU MAUVAIS JOUEUR »
Une fois que vous aurez lu cert article, je ne doute pas qu'avec le sourire aux lèvres quelques noms vous reviennent à l'esprit.
Voici comment on le reconnait!
- Il a toujours raison.
- C'est la mauvaise foi incarnée.
- Il ne voit que ce qu'il réussit et oublie ses « cagades ».
- Il ne garde en mémoire que les échecs de ses partenaires.
- Il ne fait jamais allusion aux parties qu’ils lui auront fait gagner.
- Il est souvent arrogant, vantard, s'imagine être un « super », un « cador ».
- Il ne fait preuve d’aucune objectivité sur le niveau de sa prestation.
- Il s'adresse volontiers aux adversaires pour critiquer ses coéquipiers.
-S'il est en forme, il n'hésitera pas à vous mettre plus bas que terre.
S’il n'est pas dans le coup, il trouvera toujours un tas d'excuses, pour justifier de ses échecs.
- Tantôt, il aura mal dormi.
- Tantôt, il aura mal au dos.
- Tantôt il accusera un moucheron de l'avoir fait manquer sa boule.
- Tantôt il aura le soleil dans l'œil.
- Tantôt l’un des adversaires aura bougé.
Tous les prétextes seront bons.
S'il manque au tir, c'est parce qu’on n’aura pas conduit le jeu comme bon lui semble, ou que la boule lui aura échappé, ou qu'un caillou l'aura dévié de sa trajectoire, lui qui est toujours droit comme un I.
S'il manque au point, c'est parce qu'il est mal tombé ou que le mauvais sort s’acharne sur lu
Le concours terminé, il refait les parties à son avantage.
Il donne sans cesse l'impression qu'aucun de ses partenaires n'est suffisamment costaud, pour jouer avec lui.
Il se plaint toujours de ne pas avoir de réussite.
A l’occasion d’une défaite, il fera le tour du terrain pour raconter sa mésaventure et dressera de vous, n'en doutez pas, un portrait peu flatteur.
On a tous en tête le nom de ces joueurs, qui même le temps passant reste fidèle à leur attitude.
Evitez de vous embarquer en concours avec de tel olibrius.
Quand vous avez l'un de ces énergumènes dans une équipe, c'est un calvaire.
Or l’agrément de jeu en équipe est l’un des secrets de la réussite.
Attention, ne riez pas!
On peut avoir pêché dans ce sens après une défaite mal digérée.
Mais pour égaler ce personnage, il faut y mettre de la bonne volonté.
Dans tous les cas, l'attitude incarnée par ce pratiquant a pour mérite de nous indiquer la voie à ne pas prendre.
Régalez-vous de ce portrait.
Le livre est pour l'instant en rupture.
Mes amitiés sportives,
FREDERIC NACHIN
" Courage on lit jusqu'au bout!! "
AVEC OU SANS LE POUCE - VOLET N°II
Voici donc le second épisode de cette problématique.
C’est un sujet pertinent, car les deux techniques sont utilisées par les champions.
Vous aurez donc tous ce problème à résoudre et j’espère vous apporter dans ces quelques lignes, matière à vous positionner !!
Placement du pouce pour le tir.
Quelques bons tireurs gardent le pouce accolé à la boule.
Ce n’est pas pour cela qu’il vous faut les imiter.
Il vous appartient de trouver par l’expérimentation, la prise qui vous apportera le meilleur rendement.
Il vous faudra donc effectuer des séries de lancers, pour juger de l’efficacité des deux prises.
Ces exercices devront être programmés sur plusieurs semaines.
Il faudra bien sur les réaliser avec le même type de boules.
Le Pétanqueur doit se garder de croire qu’il a trouvé la solution miracle après joué quelques parties où il aura été en réussite avec un changement de prise ou de boules.
Je connais trop le joueur de boules pour omettre de lui signaler cette évidence.
Pour ma part et comme une majorité de tireurs, je n’utilise pas mon pouce pour envoyer ma boule.
Ce faisant, certains joueurs pourront trouver avantage à conserver le pouce collé à la boule.
Cela leur permet de fixer le poignet au moment du lâcher.
Cette technique peut être intéressante pour les joueurs qui ont une fâcheuse tendance à tortiller du poignet au moment du lâcher.
Il m’est arrivé d’utiliser ce procédé dans des périodes de doute où je faisais pas mal de travers.
Cela m’a permis de me remettre en confiance.
Mais cela est resté transitoire.
Attention, cette prise de la boule maintenue avec le pouce à son revers.
En effet, le pouce peut , à la moindre crispation, exercer une pression sur la boule au moment de son envoi.
Et Patatrac !!
Le résultat en est un gros écart transversal !
Un « nanard » !!
Un « brochet » !!
Dans ce choix de jouer avec ou sans le pouce, peut intervenir un problème de morphologie de la main.
Les individus qui ont de longs doigts peuvent plus facilement enrouler la boule et avoir ainsi de bonnes sensations.
Comme j'ai pu le dire, le lancer de la boule sans le contrôle du pouce réclame au pratiquant une exécution parfaite.
La boule doit s’échapper par le bout des doigts.
Si vous ne parvenez pas à réaliser ce geste à la perfection, vous remarquerez que vos doigts restent légèrement fléchis, comme crochus au moment du lâcher.
Cela témoigne d’une ouverture de la main précoce, avec comme corollaire une boule qui échappe de la main.
Le risque étant de tomber court ou de ne pas être droit, en forçant au moment de l’envoi.
Dans ce cas, l'utilisation du pouce légèrement replié au niveau de la première phalange de l'index permet de lâcher la boule au moment optimal.
On peut avoir l'impression de mieux la guider en force et en direction.
Pour ma part je conseille à tous les joueurs qui le peuvent de jouer sans le pouce.
Qui plus est, jouer sans le pouce libère le poignet et permet de mieux contrôler la boule en particulier lorsque l'on pointe.
Ce faisant, avec ou sans le pouce, il faut inlassablement travailler sa sortie de main.
Avant le début d’une partie, à l’échauffement, je tire souvent des boules à 4 et 5 mètres.
Il y a toujours un badaud pour me dire, mais tu ne joues pas en minime !!
Dans mon for intérieur, je me marre !!
Je visualise tout simplement le lâcher de ma boule !!
J’ai ainsi le temps de voir si elle sort bien à plat et je m’efforce d’écarter les doigts, afin que la boule quitte la main sans contrainte.
C’est ce geste d’ouverture de la main qu’il faut répéter à l’infini.
Comme le rappelle très bien Robert Bruno dans son ouvrage :
« Peu de personnes jouent sans un léger coup de main ».
Je dis souvent que :
« Jouer sous main et parfaitement droit est un don de Dieu »
Sur que c’est un avantage certain, lorsque l’on débute spontanément comme cela !!
Mais, rassurez-vous !!
C’est comme tout !!
Ça se travaille !!
Comme je l’ai déjà dit, on rencontre ces deux techniques chez les joueurs de haut niveau.
Le choix de la prise peut se faire sans que le pratiquant en prenne conscience.
En effet notre cerveau fait parfois bien les choses !!
Je vous adresse mes amitiés.
Le livre n'est plus disponible pour le moment.
Frédéric NACHIN.
Voici donc le second épisode de cette problématique.
C’est un sujet pertinent, car les deux techniques sont utilisées par les champions.
Vous aurez donc tous ce problème à résoudre et j’espère vous apporter dans ces quelques lignes, matière à vous positionner !!
Placement du pouce pour le tir.
Quelques bons tireurs gardent le pouce accolé à la boule.
Ce n’est pas pour cela qu’il vous faut les imiter.
Il vous appartient de trouver par l’expérimentation, la prise qui vous apportera le meilleur rendement.
Il vous faudra donc effectuer des séries de lancers, pour juger de l’efficacité des deux prises.
Ces exercices devront être programmés sur plusieurs semaines.
Il faudra bien sur les réaliser avec le même type de boules.
Le Pétanqueur doit se garder de croire qu’il a trouvé la solution miracle après joué quelques parties où il aura été en réussite avec un changement de prise ou de boules.
Je connais trop le joueur de boules pour omettre de lui signaler cette évidence.
Pour ma part et comme une majorité de tireurs, je n’utilise pas mon pouce pour envoyer ma boule.
Ce faisant, certains joueurs pourront trouver avantage à conserver le pouce collé à la boule.
Cela leur permet de fixer le poignet au moment du lâcher.
Cette technique peut être intéressante pour les joueurs qui ont une fâcheuse tendance à tortiller du poignet au moment du lâcher.
Il m’est arrivé d’utiliser ce procédé dans des périodes de doute où je faisais pas mal de travers.
Cela m’a permis de me remettre en confiance.
Mais cela est resté transitoire.
Attention, cette prise de la boule maintenue avec le pouce à son revers.
En effet, le pouce peut , à la moindre crispation, exercer une pression sur la boule au moment de son envoi.
Et Patatrac !!
Le résultat en est un gros écart transversal !
Un « nanard » !!
Un « brochet » !!
Dans ce choix de jouer avec ou sans le pouce, peut intervenir un problème de morphologie de la main.
Les individus qui ont de longs doigts peuvent plus facilement enrouler la boule et avoir ainsi de bonnes sensations.
Comme j'ai pu le dire, le lancer de la boule sans le contrôle du pouce réclame au pratiquant une exécution parfaite.
La boule doit s’échapper par le bout des doigts.
Si vous ne parvenez pas à réaliser ce geste à la perfection, vous remarquerez que vos doigts restent légèrement fléchis, comme crochus au moment du lâcher.
Cela témoigne d’une ouverture de la main précoce, avec comme corollaire une boule qui échappe de la main.
Le risque étant de tomber court ou de ne pas être droit, en forçant au moment de l’envoi.
Dans ce cas, l'utilisation du pouce légèrement replié au niveau de la première phalange de l'index permet de lâcher la boule au moment optimal.
On peut avoir l'impression de mieux la guider en force et en direction.
Pour ma part je conseille à tous les joueurs qui le peuvent de jouer sans le pouce.
Qui plus est, jouer sans le pouce libère le poignet et permet de mieux contrôler la boule en particulier lorsque l'on pointe.
Ce faisant, avec ou sans le pouce, il faut inlassablement travailler sa sortie de main.
Avant le début d’une partie, à l’échauffement, je tire souvent des boules à 4 et 5 mètres.
Il y a toujours un badaud pour me dire, mais tu ne joues pas en minime !!
Dans mon for intérieur, je me marre !!
Je visualise tout simplement le lâcher de ma boule !!
J’ai ainsi le temps de voir si elle sort bien à plat et je m’efforce d’écarter les doigts, afin que la boule quitte la main sans contrainte.
C’est ce geste d’ouverture de la main qu’il faut répéter à l’infini.
Comme le rappelle très bien Robert Bruno dans son ouvrage :
« Peu de personnes jouent sans un léger coup de main ».
Je dis souvent que :
« Jouer sous main et parfaitement droit est un don de Dieu »
Sur que c’est un avantage certain, lorsque l’on débute spontanément comme cela !!
Mais, rassurez-vous !!
C’est comme tout !!
Ça se travaille !!
Comme je l’ai déjà dit, on rencontre ces deux techniques chez les joueurs de haut niveau.
Le choix de la prise peut se faire sans que le pratiquant en prenne conscience.
En effet notre cerveau fait parfois bien les choses !!
Je vous adresse mes amitiés.
Le livre n'est plus disponible pour le moment.
Frédéric NACHIN.
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